Sur le vif
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a annoncé, lundi 25 juin, que la réforme de ses statuts associera « l'ensemble des composantes de l'islam de France », y compris celles qui ne siègent pas en son sein, dont l'Union des organisations islamiques de France (UOIF). La fédération avait en effet quitté le bureau exécutif du CFCM après les dernières élections de l’instance en juin 2011 boycottées par l’UOIF.
Le conseil d'administration du CFCM, réuni dimanche au siège du Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (DITIB) à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), s'est accordé sur « la nécessité de finaliser la réflexion sur "la réforme du CFCM" afin d'aboutir à un projet concret qui assure l'adhésion de la plus large majorité des composantes de l'islam de France et crée les conditions de confiance nécessaires à l'unité et à la fraternité des musulmans de France », selon un communiqué.
« Cette réflexion doit être menée sous l’égide du CFCM en associant l'ensemble des composantes de l’Islam de France, y compris celles qui ne siègent pas aux différentes instances actuelles du CFCM », précise-t-on.
Il a également été convenu que « les liens entre l’instance nationale et les instances régionales doivent être renforcés » pour lutter efficacement contre les actes anti-musulmans.
Cependant, les membres du CFCM ont « unanimement fait le constat de l'insuffisance des moyens financiers et ont évoqué des pistes à étudier afin que l’instance représentative du culte musulman puisse assumer sa mission dans les meilleures conditions pour mieux servir la pratique cultuelle des musulmans de France ».
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Le conseil d'administration du CFCM, réuni dimanche au siège du Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (DITIB) à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), s'est accordé sur « la nécessité de finaliser la réflexion sur "la réforme du CFCM" afin d'aboutir à un projet concret qui assure l'adhésion de la plus large majorité des composantes de l'islam de France et crée les conditions de confiance nécessaires à l'unité et à la fraternité des musulmans de France », selon un communiqué.
« Cette réflexion doit être menée sous l’égide du CFCM en associant l'ensemble des composantes de l’Islam de France, y compris celles qui ne siègent pas aux différentes instances actuelles du CFCM », précise-t-on.
Il a également été convenu que « les liens entre l’instance nationale et les instances régionales doivent être renforcés » pour lutter efficacement contre les actes anti-musulmans.
Cependant, les membres du CFCM ont « unanimement fait le constat de l'insuffisance des moyens financiers et ont évoqué des pistes à étudier afin que l’instance représentative du culte musulman puisse assumer sa mission dans les meilleures conditions pour mieux servir la pratique cultuelle des musulmans de France ».
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