Sur le vif
Mercredi, Bagdad a annoncé la tenue dès le 10 mars d'une conférence internationale, à laquelle sont invitées les grandes puissances et les pays voisins, pour ramener la paix en Irak.
Les services du Premier ministre, Nouri al-Maliki, ont annoncé avoir lancé les invitations pour le 10 mars, en ajoutant que le but "de cette conférence est de faire avancer le processus politique, de soutenir les efforts du gouvernement d'union nationale en faveur de la sécurité et la stabilité".
La conférence, devra aussi, précise-t-on de même source, favoriser une "réconciliation nationale".
Parmi les invités figurent les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, les six voisins de l'Irak, la Ligue arabe et l'Organisation de la Conférence islamique.
La France, qui en 2003 avait pris la tête du front du refus à la guerre en Irak, a annoncé mercredi sa participation. Les Etats-Unis et la Syrie avaient déjà fait de même, tandis que l'Iran a laissé entendre que sa présence était possible.
Selon la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, une première rencontre doit se tenir en mars au niveau de hauts responsables, suivie d'une deuxième réunion, au niveau ministériel, sans doute en avril "avec les mêmes invités plus le G8".
Les services du Premier ministre, Nouri al-Maliki, ont annoncé avoir lancé les invitations pour le 10 mars, en ajoutant que le but "de cette conférence est de faire avancer le processus politique, de soutenir les efforts du gouvernement d'union nationale en faveur de la sécurité et la stabilité".
La conférence, devra aussi, précise-t-on de même source, favoriser une "réconciliation nationale".
Parmi les invités figurent les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, les six voisins de l'Irak, la Ligue arabe et l'Organisation de la Conférence islamique.
La France, qui en 2003 avait pris la tête du front du refus à la guerre en Irak, a annoncé mercredi sa participation. Les Etats-Unis et la Syrie avaient déjà fait de même, tandis que l'Iran a laissé entendre que sa présence était possible.
Selon la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, une première rencontre doit se tenir en mars au niveau de hauts responsables, suivie d'une deuxième réunion, au niveau ministériel, sans doute en avril "avec les mêmes invités plus le G8".
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