Sur le vif
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, mercredi 23 novembre, un policier de 26 ans à huit mois de sursis pour avoir asséné un coup de poing à un lycéen. Les faits se sont déroulés le 24 mars dernier, devant le lycée Bergson, dans le 19e arrondissement de Paris, lors des mobilisations contre la loi travail.
Une vidéo de l’altercation, très diffusée sur les réseaux sociaux, avait suscité l’indignation. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve s’était dit « choqué ».
Le policier ne se verra pas inscrire cette condamnation à son casier judiciaire sur décision du tribunal. Il pourra ainsi continuer à exercer son métier. Interrogé lors de son procès le 10 novembre, il a invoqué un « malheureux concours de circonstances ». Le lycéen a eu le nez cassé et s’était vu prescrire une incapacité totale de travail de six jours.
Une vidéo de l’altercation, très diffusée sur les réseaux sociaux, avait suscité l’indignation. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve s’était dit « choqué ».
Le policier ne se verra pas inscrire cette condamnation à son casier judiciaire sur décision du tribunal. Il pourra ainsi continuer à exercer son métier. Interrogé lors de son procès le 10 novembre, il a invoqué un « malheureux concours de circonstances ». Le lycéen a eu le nez cassé et s’était vu prescrire une incapacité totale de travail de six jours.
Lire aussi :
Manifestations et incidents après le tabassage d’un lycéen par la police (vidéo)
Un policier en garde à vue après le tabassage d'un lycéen
Contrôles au faciès : un rapport pour alerter le gouvernement sur les maux du déni
Marche de la Dignité : « Le prix de notre dignité est de se souvenir et de lutter»
Manifestations et incidents après le tabassage d’un lycéen par la police (vidéo)
Un policier en garde à vue après le tabassage d'un lycéen
Contrôles au faciès : un rapport pour alerter le gouvernement sur les maux du déni
Marche de la Dignité : « Le prix de notre dignité est de se souvenir et de lutter»
Qui sommes-nous ?
