Sur le vif
Une équipe de tae kwon do composée principalement de filles musulmanes a affirmé avoir été expulsée d'un tournoi de la Rive-Sud de Montréal, dimanche, parce que ses membres ont refusé d'enlever leurs hijabs.
Cités par l'agence Presse Canadienne (PC), les organisateurs du tournoi ont déclaré aux dirigeants de l'équipe que les filles ne pouvaient prendre part aux épreuves parce que les hijabs comportent un risque pour la sécurité des athlètes.
L'arbitre international Stéphane Ménard a expliqué que "l'équipement autorisé pour la pratique du tae kwon do par la Fédération mondiale n'inclut pas le hijab".
L'équipe, composée de filles de 8 à 12 ans, est affiliée à un centre communautaire musulman à Montréal. Le centre communautaire a déclaré que la plupart des filles au sein de l'équipe portent le hijab, mais qu'on leur a permis de participer à des tournois similaires ailleurs au Québec.
La direction du centre a ajouté que son équipe masculine a refusé de disputer le tournoi pour manifester sa solidarité.
Les dirigeants de l'équipe affirment qu'ils continueront de tenter de persuader les organisateurs du tournoi de revenir sur leur décision.
En février dernier, une fille musulmane âgée de 11 ans de l'Ontario qui venait participer à un tournoi de football au Québec avait été expulsée du terrain parce qu'elle avait refusé d'obéir à la demande de l'arbitre de retirer son voile. La demande de l'arbitre avait été soutenue par plus associations sportives soulignant un souci de sécurité.
Cités par l'agence Presse Canadienne (PC), les organisateurs du tournoi ont déclaré aux dirigeants de l'équipe que les filles ne pouvaient prendre part aux épreuves parce que les hijabs comportent un risque pour la sécurité des athlètes.
L'arbitre international Stéphane Ménard a expliqué que "l'équipement autorisé pour la pratique du tae kwon do par la Fédération mondiale n'inclut pas le hijab".
L'équipe, composée de filles de 8 à 12 ans, est affiliée à un centre communautaire musulman à Montréal. Le centre communautaire a déclaré que la plupart des filles au sein de l'équipe portent le hijab, mais qu'on leur a permis de participer à des tournois similaires ailleurs au Québec.
La direction du centre a ajouté que son équipe masculine a refusé de disputer le tournoi pour manifester sa solidarité.
Les dirigeants de l'équipe affirment qu'ils continueront de tenter de persuader les organisateurs du tournoi de revenir sur leur décision.
En février dernier, une fille musulmane âgée de 11 ans de l'Ontario qui venait participer à un tournoi de football au Québec avait été expulsée du terrain parce qu'elle avait refusé d'obéir à la demande de l'arbitre de retirer son voile. La demande de l'arbitre avait été soutenue par plus associations sportives soulignant un souci de sécurité.
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