Nous avons tous un territoire, composé de notre histoire, de notre vécu personnel, de nos blessures, de nos valeurs, de nos croyances, de notre identité, de nos besoins, de nos sentiments, de nos émotions.
L’être humain a besoin de se connaître : connaitre qui il est, connaître son territoire, ce qui lui appartient en propre.
Chaque être humain est unique, nous sommes uniques. Nous sommes composés d’un ensemble de choses qui fait ce que nous sommes : une identité propre. Qui suis-je ? Quelles sont mes croyances, mes valeurs, mes principes, quels sont mes besoins ? Quelles sont mes forces, et mes faiblesses, quelles sont mes peurs ? Quelles sont mes blessures ? Qu’est-ce que j’aime ou que je n’aime pas ? Comment est-ce-que je me définis ? Comment les autres me perçoivent ? Qu’est-ce-que les autres voient en moi que je ne vois pas ? Qu’est ce que je vois en moi alors que les autres ne voient pas ?
L’être humain a besoin de connaitre ses limites, ce qui le définit pour avancer dans la vie.
L’être humain a besoin de se connaître : connaitre qui il est, connaître son territoire, ce qui lui appartient en propre.
Chaque être humain est unique, nous sommes uniques. Nous sommes composés d’un ensemble de choses qui fait ce que nous sommes : une identité propre. Qui suis-je ? Quelles sont mes croyances, mes valeurs, mes principes, quels sont mes besoins ? Quelles sont mes forces, et mes faiblesses, quelles sont mes peurs ? Quelles sont mes blessures ? Qu’est-ce que j’aime ou que je n’aime pas ? Comment est-ce-que je me définis ? Comment les autres me perçoivent ? Qu’est-ce-que les autres voient en moi que je ne vois pas ? Qu’est ce que je vois en moi alors que les autres ne voient pas ?
L’être humain a besoin de connaitre ses limites, ce qui le définit pour avancer dans la vie.
Les limites, c’est votre territoire, c’est ce qui est sacré
Si vous ne savez pas mettre de limites, c’est parce que vous n’êtes pas au clair avec vos limites. Et vous ne pourrez pas dire non lorsqu’une limite est dépassée. Les limites, c’est votre territoire. C’est ce qui est sacré. C’est ce qui vous appartient et que personne à le droit de vous prendre et de voler. Chacun a son territoire. Mais pour connaitre le territoire de l’Autre, il est important de connaitre où est la limite de votre territoire. Parce qu’il y a des êtres qui ne connaissent pas de limites. Or les limites protègent. Elle protège votre être, et ce qui fait ce que vous êtes : votre singularité.
Comment sait-on que les limites ont été dépassées ?
La colère est un bon indicateur. Lorsque vous ressentez de la colère, c’est qu'une personne a bafoué une de vos valeurs. La colère est comme un soldat qui protège votre territoire.
Le problème qui se pose est que vous pouvez exprimer la colère de façon excessive, en étant dans un comportement agressif. Ou, a contrario, vous pouvez la refouler, l’inhiber ou nier même sa présence et ainsi être dans un comportement passif. Ces deux attitudes ne sont pas les meilleures.
En effet, lorsque vous êtes agressif, vous faites fuir la personne. Elle se braque et peut elle aussi se mettre en colère et crier. Lorsque vous êtes passif, vous n’envoyez pas de messages à l’Autre qui vient expliquer qu’il a dépassé votre territoire. Dans l'Autre cas, si vous ne dites pas les choses de façon claire et directe, la personne pourra allègrement dépasser les limites. Au bout du compte, le problème ne sera pas réglé et votre demande n’aura pas été respectée.
Comment sait-on que les limites ont été dépassées ?
La colère est un bon indicateur. Lorsque vous ressentez de la colère, c’est qu'une personne a bafoué une de vos valeurs. La colère est comme un soldat qui protège votre territoire.
Le problème qui se pose est que vous pouvez exprimer la colère de façon excessive, en étant dans un comportement agressif. Ou, a contrario, vous pouvez la refouler, l’inhiber ou nier même sa présence et ainsi être dans un comportement passif. Ces deux attitudes ne sont pas les meilleures.
En effet, lorsque vous êtes agressif, vous faites fuir la personne. Elle se braque et peut elle aussi se mettre en colère et crier. Lorsque vous êtes passif, vous n’envoyez pas de messages à l’Autre qui vient expliquer qu’il a dépassé votre territoire. Dans l'Autre cas, si vous ne dites pas les choses de façon claire et directe, la personne pourra allègrement dépasser les limites. Au bout du compte, le problème ne sera pas réglé et votre demande n’aura pas été respectée.
Un non affirmé peut aussi être un non qui protège
Exemple avec une personne qui vous manque de respect, par sa manière de parler. Elle est grossière, vous dévalorise. Si vous ne dites rien, elle comprendra qu’elle peut vous manquer de respect. Vous ne devez avoir aucune tolérance pour les comportements d'irrespect. Vous ne devez pas vous dire qu’elle va comprendre par elle-même. Non, vous devez le dire et l’exprimer de façon assertive, sans vous énerver, et sans être dans la politique de l’autruche. Aucune tolérance pour ce type de comportements mais cela ne veut pas dire que vous devez être agressif pour transmettre le message. Il faut exprimer son mécontentement par une demande claire, un NON qui protège. Un non affirmé !
Parfois, vous pouvez ne pas savoir dire les choses parce que vous avez peur de blesser ou de vexer. Vous pensez faire bien en ne disant rien. Mais la première personne que vous avez blessée, c’est vous. Vous avez pensé que l’Autre est plus importante que vous alors que vous êtes aussi importante qu’elle. Vous pouvez vous respecter et respecter l’Autre, ce n’est pas incompatible ; au contraire, si vous vous respectez, vous allez pouvoir respecter l’Autre, forcément. Si vous avez confiance en vous, vous allez pouvoir faire confiance en l’Autre.
Parfois, vous pouvez ne pas savoir dire les choses parce que vous avez peur de blesser ou de vexer. Vous pensez faire bien en ne disant rien. Mais la première personne que vous avez blessée, c’est vous. Vous avez pensé que l’Autre est plus importante que vous alors que vous êtes aussi importante qu’elle. Vous pouvez vous respecter et respecter l’Autre, ce n’est pas incompatible ; au contraire, si vous vous respectez, vous allez pouvoir respecter l’Autre, forcément. Si vous avez confiance en vous, vous allez pouvoir faire confiance en l’Autre.
Ne pas être son propre ennemi
Vous êtes un être unique, vous avez votre propre personnalité. Vous ne pouvez pas composer sans vous-même... comme vous ne pouvez pas composer sans l’Autre. Mais vous pouvez composer avec l’Autre, lorsque vous composez avec vous-même.
Vous ne devez pas être dans une relation où l’Autre est plus important que vous-même, placé dans une position haute tandis que vous vous placé dans une position basse. Vous êtes dans une position aussi haute que l'Autre, d’égal à égal. D’adulte à adulte. Et lorsque vous sentez que la personne veut vous maintenir dans une position basse (une position infantilisante), vous devez la refuser et accepter de ne pas le faire plaisir à son détriment. Vous pouvez faire plaisir à l'Autre, mais sans jamais perdre sa dignité, ses valeurs, sans atrophier son « Moi », parce qu’on ne peut pas vivre sans le « Moi ».
Si on ne se protège pas, nous pouvons nous faire du tort et nous dévaloriser, en sentant que la confiance en soi diminue à chaque fois que la personne dépasse les limites et gagne du terrain. Et par mon silence, par mon laisser-aller, je me fais du mal et je deviens mon propre ennemi.
Lire aussi :
Se pardonner et avancer pour ne pas se culpabiliser
Avancer dans la vie grâce à la focalisation mentale
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Si on ne se protège pas, nous pouvons nous faire du tort et nous dévaloriser, en sentant que la confiance en soi diminue à chaque fois que la personne dépasse les limites et gagne du terrain. Et par mon silence, par mon laisser-aller, je me fais du mal et je deviens mon propre ennemi.
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