Sur le vif
Le recteur de l'Académie de Lyon a rendu un avis défavorable à une nouvelle demande de l'association Al-Kindi pour l'ouverture d'un collège-lycée musulman à Décines (Rhône), a-t-il annoncé à l'AFP.
"Nous sommes face à un dossier strictement identique à celui déposé fin juillet. J'ai donc fait une nouvelle fois opposition à l'ouverture de cet établissement" qui, s'il ouvrait, serait le plus grand par la taille en France, après le lycée Averroès de Lille, a affirmé Alain Morvan.
Le premier refus du rectorat fin août avait été confirmé par le Conseil académique de l'Education nationale le 22 septembre. Le Conseil supérieur de l'Education nationale, statuant en appel, avait ensuite estimé qu'il n'était pas compétent et avait renvoyé l'affaire devant le Tribunal administratif.
L'association Al-Kindi - du nom d'un savant arabe - avait donc déposé mi-novembre un recours devant le Tribunal administratif de Lyon, qui avait refusé d'annuler en urgence la décision du recteur.
"Il nous reste trois options : faire appel de cette décision, introduire une nouvelle procédure sous la forme d'une demande de suspension classique ou déposer un nouveau dossier de demande d'ouverture auprès du rectorat", avait alors précisé Me Gilles Devers, avocat de l'association.
Le fond de ce dossier sera examiné devant la justice administrative le 24 janvier.
"Nous sommes face à un dossier strictement identique à celui déposé fin juillet. J'ai donc fait une nouvelle fois opposition à l'ouverture de cet établissement" qui, s'il ouvrait, serait le plus grand par la taille en France, après le lycée Averroès de Lille, a affirmé Alain Morvan.
Le premier refus du rectorat fin août avait été confirmé par le Conseil académique de l'Education nationale le 22 septembre. Le Conseil supérieur de l'Education nationale, statuant en appel, avait ensuite estimé qu'il n'était pas compétent et avait renvoyé l'affaire devant le Tribunal administratif.
L'association Al-Kindi - du nom d'un savant arabe - avait donc déposé mi-novembre un recours devant le Tribunal administratif de Lyon, qui avait refusé d'annuler en urgence la décision du recteur.
"Il nous reste trois options : faire appel de cette décision, introduire une nouvelle procédure sous la forme d'une demande de suspension classique ou déposer un nouveau dossier de demande d'ouverture auprès du rectorat", avait alors précisé Me Gilles Devers, avocat de l'association.
Le fond de ce dossier sera examiné devant la justice administrative le 24 janvier.
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