Sur le vif
Les familles mal-logées qui occupaient depuis mercredi un gymnase du VIIe arrondissement de Paris ont accepté de quitter les lieux vendredi soir après la signature d'un accord prévoyant un processus de relogement avec la ville de Paris, a-t-on appris auprès de l'association Droit au logement (DAL).
"Nous venons de finaliser un accord avec la mairie de Paris prévoyant le relogement des 220 familles qui se trouvaient dans le gymnase. Nous décidons donc de quitter les lieux", a déclaré à l'Associated Press le président de Droit au logement Jean-Baptiste Eyraud, peu avant 21h.
Selon lui, les familles devaient être relogées dans le parc locatif privé contre un loyer minimum, la plus grande partie du loyer étant prise en charge par la ville de Paris et les associations. Le processus de relogement pourrait être mis en place à partir de la semaine prochaine, à condition de trouver des bailleurs qui acceptent d'y participer.
Le protocole d'accord concerne les familles qui occupaient le gymnase, mais le DAL entend faire appliquer le même processus à quelque 900 familles installées dans des conditions précaires dans des hôtels parisiens. La mairie de Paris confirme dans un communiqué avoir lancé une étude pour mettre en place un tel dispositif.
L'association annonce d'autres actions dans le courant de la semaine prochaine à l'occasion de l'examen à l'Assemblée nationale, à partir de jeudi, du projet de loi pour un droit au logement opposable.
"Nous venons de finaliser un accord avec la mairie de Paris prévoyant le relogement des 220 familles qui se trouvaient dans le gymnase. Nous décidons donc de quitter les lieux", a déclaré à l'Associated Press le président de Droit au logement Jean-Baptiste Eyraud, peu avant 21h.
Selon lui, les familles devaient être relogées dans le parc locatif privé contre un loyer minimum, la plus grande partie du loyer étant prise en charge par la ville de Paris et les associations. Le processus de relogement pourrait être mis en place à partir de la semaine prochaine, à condition de trouver des bailleurs qui acceptent d'y participer.
Le protocole d'accord concerne les familles qui occupaient le gymnase, mais le DAL entend faire appliquer le même processus à quelque 900 familles installées dans des conditions précaires dans des hôtels parisiens. La mairie de Paris confirme dans un communiqué avoir lancé une étude pour mettre en place un tel dispositif.
L'association annonce d'autres actions dans le courant de la semaine prochaine à l'occasion de l'examen à l'Assemblée nationale, à partir de jeudi, du projet de loi pour un droit au logement opposable.
Qui sommes-nous ?
