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Divin féminin (spectacle gratuit)
Infos pratiques
le Lundi 19 Mars 2018, 18:30 - 22:00
7, boulevard Jourdan
75014 Paris
Tel : +33 (0)1 58 10 33 00
Description
A l’occasion de la journée internationale de la femme, la Fondation Maison du Maroc propose un concert gratuit de qanun-lecture-danse contemporaine sur le thème du DIVIN FEMININ dans la poésie soufie (Rabia'a Al Adawiyya, Ibn 'Arabi, Cheikh Al Alawi...) LUNDI 19 MARS, à 20 heures, avec Kawtar Kel, Carole Latifa Ameer, Nidhal Jaoua, Théophile de Wallensbourg. Calligraphie de Rany Rouabah.

Le concert sera précédé du vernissage de l'exposition « Femmes marocaines à Paris », de Baoubid AlMeknassi, à 18 h 30, et d'une intervention en présence de son excellence l'ambassadeur du Maroc.

Soyez toutes et tous les bienvenu-e-s !

Fondation Maison du Maroc, 1 bd Jourdan, Cité universitaire, entrée par le 7 bd Jourdan, 75014 Paris.
RER B Cité universitaire. Tramway.

Entrée LIBRE, dans la limite des places disponibles

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Inspirés par les poèmes mystiques soufis, Théophile de Wallensbourg et Carole Latifa Ameer, les fondateurs du collectif d’artistes Dervish project, proposent avec Kawtar Kel et Nidhal Jaoua un récital de poésie, de qanun et de danse contemporaine sur le thème du DIVIN FEMININ qui est une célébration du féminin et de la femme. Le divin féminin est un thème récurrent et central dans la poésie mystique puisque tour à tour la femme y est symbole de l’essence divine et de l’âme, miroir du divin, support le plus accompli de méditation...

Le calligraphe Rany Rouabah propose une création calligraphique inédite qui illuminera la salle et la scène.

Nidhal Jaoua, virtuose du qanun, la cythare orientale, puise son répertoire dans le riche creuset culturel méditerranéen, de la Turquie au Maroc, magnifié par une approche contemporaine. La musique d’inspiration arabo-andalouse se mêle à une composition orientale épurée et contemporaine basé sur des improvisations très intenses (taksim).

La danseuse contemporaine Kawtar Kel proposera une improvisation chorégraphique en miroir avec les vers poétiques et la musique sur le thème du « divin féminin », elle incarnera tour à tour Rabi’a Al ‘Adawiyya, Nizham d’Ibn ‘Arabi ou Laïla du Cheikh Al Alawi.

Les interventions musicales et chorégraphiques seront entrecoupées de courtes lectures de poèmes issus de la tradition mystique soufie, de Rabi’a al-‘Adawiyya (VIIIe siècle) au Cheikh al-Alawi (XXe siècle), en passant par Ibn ‘Arabi.

Entendant son appel, je me suis approché
De la demeure de Laïla.
Puisse cette voix si douce ne se taire jamais !
Cheikh Al Alawi, Laïla (La Présence divine)


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