Sur le vif
La préfecture de l’Isère a ordonné, mardi 5 février, la fermeture pour six mois de la mosquée Al-Kawthar, à Grenoble, ainsi que le gel des avoirs de son imam et de l’association musulmane dauphinoise (AMD) qui gère ce lieu de culte.
Sauf « recours contentieux », l’arrêté préfectoral prend effet jeudi 7 février.
Le préfet de l’Isère a justifié cette fermeture par les prêches radicaux légitimant le « jihad armé » au sein de ce lieu de culte.
La préfecture a invoqué l’article L.227-1 du code de la sécurité intérieure traitant la prévention de « la commission d’acte de terrorisme » pour justifier sa décision. Un communiqué évoque des « propos tenus et les idées et théories diffusées au sein de ce lieu de culte » qui appelleraient « à la violence, à la haine et à la discrimination contre les fidèles des autres cultes ».
La préfecture suspecte également l’imam - révoqué par l'association depuis - de véhiculer un I[« message contraire aux valeurs républicaines en légitimant la charia et la discrimination envers les femmes ».]i Elle a également indiqué que cette fermeture intervient à la suite « d’une procédure contradictoire menée avec les représentants de l’association gestionnaire du lieu de culte, qui n’ont pas contesté la teneur de propos tenus en son sein ».
Sauf « recours contentieux », l’arrêté préfectoral prend effet jeudi 7 février.
Le préfet de l’Isère a justifié cette fermeture par les prêches radicaux légitimant le « jihad armé » au sein de ce lieu de culte.
La préfecture a invoqué l’article L.227-1 du code de la sécurité intérieure traitant la prévention de « la commission d’acte de terrorisme » pour justifier sa décision. Un communiqué évoque des « propos tenus et les idées et théories diffusées au sein de ce lieu de culte » qui appelleraient « à la violence, à la haine et à la discrimination contre les fidèles des autres cultes ».
La préfecture suspecte également l’imam - révoqué par l'association depuis - de véhiculer un I[« message contraire aux valeurs républicaines en légitimant la charia et la discrimination envers les femmes ».]i Elle a également indiqué que cette fermeture intervient à la suite « d’une procédure contradictoire menée avec les représentants de l’association gestionnaire du lieu de culte, qui n’ont pas contesté la teneur de propos tenus en son sein ».
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