Un imam dans la tourmente après un prêche sur le jihad six mois avant l'attentat de Manchester

Dès lors qu'un individu et c'est particulièrement vrai s'il s'agit d'un musulman c'est tout de suite un soupçon de trahison, l'étiquette personnage douteux, dangereux à mettre en marge de la société.
Ce n'est pas le mot qui en est à l'origine mais l'identité de l'individu qui le prononce.
Un non musulman peut le prononcer, en causer à tour de bras ça ne produit strictement aucun effet.
C'est l'identité de la personne et uniquement cela qui fait tout.
Un moujahidine est un combattant musulman.
Pour lui le jihad est l'équivalent chez nous d'un soldat qui combat pour une juste cause, la défense de son pays, le combat contre un envahisseur, un ennemi, un criminel.
Il est l'équivalent d'un militaire chez nous. Il défend les siens et son pays contre des individus qui lui semble porter atteinte à de nobles valeurs.
Des invasifs qui veulent la mort des siens, s'accaparer leurs biens, les soumettre....etc.
Un moujahidine est un musulman mais il ne combat pas au nom de dieu, il combat pour des valeurs, pour défendre et uniquement pour cela.
Pour citer un moujahidine connu ou plus précisément dont on a entendu assez parler, qui est devenu connu malgré lui donc, le commandant Massoud par exemple.
Moujahidine a toujours signifié combattant musulman. Et aujourd'hui encore il signifie cela.
Les mots ont généralement un sens fondamental. Ils n'ont à l'origine qu'un sens. Ils naissent quelque part; Ils ont une origine.
Le mot République par exemple.
C'est Napoléon qui est à l'origine de la...  

Dès lors qu'un individu et c'est particulièrement vrai s'il s'agit d'un musulman c'est tout de suite un soupçon de trahison, l'étiquette personnage douteux, dangereux à mettre en marge de la société.
Ce n'est pas le mot qui en est à l'origine mais l'identité de l'individu qui le prononce.
Un non musulman peut le prononcer, en causer à tour de bras ça ne produit strictement aucun effet.
C'est l'identité de la personne et uniquement cela qui fait tout.
Un moujahidine est un combattant musulman.
Pour lui le jihad est l'équivalent chez nous d'un soldat qui combat pour une juste cause, la défense de son pays, le combat contre un envahisseur, un ennemi, un criminel.
Il est l'équivalent d'un militaire chez nous. Il défend les siens et son pays contre des individus qui lui semble porter atteinte à de nobles valeurs.
Des invasifs qui veulent la mort des siens, s'accaparer leurs biens, les soumettre....etc.
Un moujahidine est un musulman mais il ne combat pas au nom de dieu, il combat pour des valeurs, pour défendre et uniquement pour cela.
Pour citer un moujahidine connu ou plus précisément dont on a entendu assez parler, qui est devenu connu malgré lui donc, le commandant Massoud par exemple.
Moujahidine a toujours signifié combattant musulman. Et aujourd'hui encore il signifie cela.
Les mots ont généralement un sens fondamental. Ils n'ont à l'origine qu'un sens. Ils naissent quelque part; Ils ont une origine.
Le mot République par exemple.
C'est Napoléon qui est à l'origine de la République.
Napoléon était un dictateur, un envahisseur, un colon, un criminel.
Et pourtant le mot République n'est absolument pas connoté.
Il est aujourd'hui synonyme de tout le contraire, démocratie, valeurs, humanisme.....etc. S'arc bouté sur les mots n'a donc pas fondamentalement de sens.
Le monsieur en question évoque des moujahidine et allah, jusque là il n'y a aucun problème ça n'a toujours signifié que cela.
Un moujahidine n'est pas un terroriste, il fait le jihad, il est un combattant qui estime qu'il n'a pas d'autre choix que de prendre les armes pour défendre, pour combattre des attaquants et absolument pas pour combattre au nom de dieu meme s'il ne se sépare pas de son identité musulmane.
Les événements actuels du monde font des musulmans qui peuvent évoquer un engagement offensif (puisque défendre c'est obligatoirement aussi etre offensif) qu'ils sont belliqueux, ennemis.
Jamais un extrémiste musulman ne prononcerait le terme moujahidine étant donné qu'ils sont quasi exclusivement ennemis. Le terme jihad a plusieurs sens tandis qu'il n'en avait qu'un au départ. Comme c'est le cas pour le mot République et quasi tout les mots d'ailleurs.
Récemment mon petit copain tandis que je commençais à parler m'a répondu je sais. Tandis qu'il ne savait rien de ce que j'allais dire. Son je sais signifiais je ne sais pas mais juste ta gueule en résumé.
Je n'ai pas laissé passé. J'ai posé la question tu m'as entendu penser!
Réponse non.
Tu m'as entendu parler alors!
Réponse non.
Que signifie je sais alors!
Pas de réponse.
Je sais signifie donc que tu ne sais pas mais juste ta gueule c'est ça!
Pas de réponse.
Bref. Ce que l'on dit peut ne pas etre ce que l'on dit. Il n'a pas dit je sais par exemple mais tout autre chose.
Ce n'est pas les mots que prononcent les gens qui compte mais le sens qu'ils donnent aux mots qu'ils prononce. Et cela il n'y a qu'eux qui peuvent le dire. Il n'y a qu'eux qui le sache.
Il a dit ça et ça signifie cela peut ne pas etre juste. Ce sens existe peut ne pas signifier il a dit cela.
Pourquoi les mots ont-ils plusieurs sens, le langage est en vérité une vaste arnaque.
Il ne devrait y avoir qu'un sens pour chaque mot. Pourquoi personne ne remédie à ça c'est la question que l'on peut se poser. C'est pourtant essentiel, primordial. Il est quand meme étrange que personne mais vraiment personne ne soulève ce problème. On ne se comprend pas mais tout le monde s'en fout. Surement que communiquer ne doit pas etre aussi important que ce que l'on dit. Je ne vois pas d'autre raison qui puisse justifier que tout le monde puisse s'en foutre. Peut etre que les malentendus sont-ils essentiels.
Si les gens se mettent à se comprendre il n'y a plus de raison de chercher ou se trouve la raison et on ne pourrait en conclure que le fait de communiquer ne sert à rien. Parler pour ne rien dire comme dit l'autre.
Pour avoir une raison de communiquer il faut ne pas se comprendre. C'est ma conclusion. Meme en cherchant bien je ne vois pas d'autre raison qui puisse expliquer ce phénomène.
Je me comprends, mais je pense de ceux qui vont me lire qu'ils ne vont pas me suivre, qu'ils ne vont pas me comprendre. Et pourtant ce que je dis (écris) me semble etre limpide, évident.