The Lady of Heaven : un imam démis de ses fonctions de conseiller au gouvernement britannique

Il pourrait exister plusieurs versions de ce même film.
Deux versions. Ou trois. Quatre....
Après ça dit pouvoir bien sur.
Quand on veut on peut, c'est en vérité le contraire qu'il faudrait dire.
Puisqu'il faut en amont de vouloir il faut le moyen, les outils, les connaissances.....
Bref il pourrait en exister 10 versions.
Et bien sur aucune ne serait la bonne.
Puisqu'il ne peut y en avoir qu'une.
Et là je viens de dire deux.
Puisque l'on a dit du film qu'il était lui même une version de l'histoire originale. Toute narration ne peut être qu'une copie. Un faux.
A moins d'en dire qu'elle est elle même un original.
Pour faire connaître un original, un tableau par exemple, on est obligé de le donner à voir. Ceci n'est pas une pipe de Magritte le dit très bien. C'est le dessin d'une pipe.
Ce qui est donné à voir aux autres c'est l'idée.
N'importe lequel d'entre nous aurait pu trouver ce que le producteur a trouvé.
Mais c'est lui qui l'a trouvé.
Ce qu'il a trouvé n'est pas à lui. Puisqu'il l'a trouvé.
On trouve quelque chose puis on le donne ensuite à voir ou à lire ou à écouter.
Qui pourra à son tour faire naître une autre idée qui pourra elle même être l'idée.
L'idée indépendamment d'un original.
Jusque là il n'en a pas existé d'autres qui soit identique.
Si on retire la femme. Le paradis. Bref tous les ingrédients, toutes les personnes, toutes les conditions, temps, tout ce que peut contenir le film que d'autres peuvent connaître il n'en resterait rien.
Il y a dans l'idée des id...  

Il pourrait exister plusieurs versions de ce même film.
Deux versions. Ou trois. Quatre....
Après ça dit pouvoir bien sur.
Quand on veut on peut, c'est en vérité le contraire qu'il faudrait dire.
Puisqu'il faut en amont de vouloir il faut le moyen, les outils, les connaissances.....
Bref il pourrait en exister 10 versions.
Et bien sur aucune ne serait la bonne.
Puisqu'il ne peut y en avoir qu'une.
Et là je viens de dire deux.
Puisque l'on a dit du film qu'il était lui même une version de l'histoire originale. Toute narration ne peut être qu'une copie. Un faux.
A moins d'en dire qu'elle est elle même un original.
Pour faire connaître un original, un tableau par exemple, on est obligé de le donner à voir. Ceci n'est pas une pipe de Magritte le dit très bien. C'est le dessin d'une pipe.
Ce qui est donné à voir aux autres c'est l'idée.
N'importe lequel d'entre nous aurait pu trouver ce que le producteur a trouvé.
Mais c'est lui qui l'a trouvé.
Ce qu'il a trouvé n'est pas à lui. Puisqu'il l'a trouvé.
On trouve quelque chose puis on le donne ensuite à voir ou à lire ou à écouter.
Qui pourra à son tour faire naître une autre idée qui pourra elle même être l'idée.
L'idée indépendamment d'un original.
Jusque là il n'en a pas existé d'autres qui soit identique.
Si on retire la femme. Le paradis. Bref tous les ingrédients, toutes les personnes, toutes les conditions, temps, tout ce que peut contenir le film que d'autres peuvent connaître il n'en resterait rien.
Il y a dans l'idée des idées que tout le monde connaît. Ce sont elles qui ont fait l'idée. Avec des ingrédients que tout le monde connaît déjà j'ai trouvé l'idée.
L'idée est un original qui pourtant ne peut que contenir ce qui était déjà là mais que personne d'autre n'a su trouver.
Il ne peut y avoir deux originaux. Un réel et une réalité.
Pendant que je suis dans ma chambre je ne suis pas dans mon salon.