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Psycho

Salima : « J’ai décidé de suivre mon mari, en abandonnant tout derrière moi »

Rédigé par Lalla Chams En Nour | Jeudi 13 Février 2014 à 18:11

           


Aujourd’hui, je vis à l’étranger dans un pays arabo-musulman occidentalisé. J’ai décidé d’y suivre mon mari, installé dans cette mégalopole, en acceptant de tout abandonner derrière moi (boulot, frères et sœurs, vie sociale...) et en espérant un second souffle pour mon couple. Mon enfant avait alors 3 ans.

En effet, sur la région parisienne, depuis mon mariage, je m’occupais de pas mal de choses à la maison (j’étais indépendante financièrement et al-hamdulillah je gagnais bien ma vie). Grâce à Dieu, mes parents − rahimahumu Allah − nous ont bien éduqués mes frères et sœurs et moi.

J’ai élevé mon enfant quasi seule pendant trois ans (je n’étais pas épaulée par mon mari qui faisait des allers-retours, et moi aussi dans le sens inverse en 2010 puis je suis restée en France en 2011) si bien qu’il y a environ deux ans je lui ai dit : « Restons ensemble, soit tu reviens ou je viens, soit c’est la séparation. » Pour lui, rentrer en France était inconcevable. Mon père − rahimahumu Allah − ne voulait pas que je me sépare, même s’il connaissait ma situation, il m’en avait dissuadée peu de temps avant son décès.

Aujourd’hui, mon mari veut que je le rejoigne une fois de plus ailleurs, en Arabie Saoudite, car il a eu un poste là-bas, mais je ne veux pas. On vivra à Ryad (et la ville pour les femmes est juste insupportable, pas le droit de conduire, c’est respirable que si on vit en compound mais on ne peut pas se l’offrir, et surtout que je serai sous la tutelle directe de mon mari).

J’ai perdu mon autonomie financière (car je ne retrouve pas de travail ici, et parce que, ayant assuré quasi 75 % des tâches financières en France, je n’ai pu rien mettre de côté durant ces années de labeur… bref…), mon mari me demande des comptes chaque fois que je dépense et me fait toujours savoir que s’il n’y avait pas notre enfant on se serait séparés depuis longtemps.

J’ai cette impression de devoir toujours des comptes, sachant qu’aujourd’hui je suis enceinte du deuxième.

Je m’en remets toujours à Dieu et je patiente, je le respecte car il est le père de mes enfants, j’ai fait beaucoup de khir (bien) à sa famille mais il n’a rien fait depuis qu’on est mariés avec les miens (il les a quasi en horreur).

Il est très lié aux siens, mais il ne veut pas que je fréquente les miens, il serait prêt à leur donner un œil quand moi il me demande de rendre des comptes pour un centime. Je ne lui dis jamais rien (je lui ai juste reproché une ou deux fois d’avoir été absent quand j’ai eu besoin de lui...).

Je soupçonne − et seul Dieu sait − que sa famille lui met des disquettes, car je ne travaille plus. Alors que je suis enceinte, il a réussi à me dire il y a quelques mois (juste parce que je me suis exprimée sur un sujet qui me tenait à cœur et qui n’a pas plu) : « Je prendrai une décision collégiale avec les miens nous concernant. »

Quand j’en ai parlé aux miens, mes frères m’ont dit de rentrer, de faire les démarches nécessaire de reprendre ma vie en main.

Si je rentre, même si on a une garde alternée, mes enfants ne verront pas leur père aussi souvent, ils seront privés de lui et je ne veux pas cela, je suis dans un traquenard ne sachant que faire.

J’ai accepté beaucoup de choses, dont l’humiliation, il ne me reste que ma dignité. Aujourd’hui, je patiente et m’en remets à Dieu. Il ne m’aime plus, mais il ne reste et m’assume aujourd’hui financièrement que pour avoir ses enfants près de lui ; mais, moi, je n’existe plus...

Je ne sais que faire, j’aimerai un avis neutre. Je demande à Dieu de me guider vers la bonne décision... La question est la suivante : qu’en pensez-vous ?

Lalla Chams En Nour, psychanalyste

Chère Salima,

Un traquenard, dites-vous. Vous semblez prise dans une contradiction pas vraiment consciente, mais dont votre indécision semble être la seule responsable. Vous avez élevé seule votre enfant, pendant trois ans, en ayant souffert de l’absence de votre mari, puis vous voilà enceinte de nouveau, encore plus dépendante. Je m’interroge.

Vous parlez des réactions de votre famille, mais vous, quel est votre sentiment à l’égard du père de vos enfants ? Il est question d’humiliation. Difficile, de l’extérieur, de démêler cet écheveau où s’entremêlent dépendance, inconscience et apparemment une forme d’irresponsabilité.

Dans quel foyer vont vivre ces enfants, entre un père et une mère qui se font du mal, qui ne se respectent pas mutuellement ? Parfois mieux vaut une séparation que ce fond de malheur nourri d’un mal d’amour, ne croyez-vous pas ?

Mais comme je le dis souvent dans cette rubrique, vous êtes la mieux placée pour savoir quelle décision prendre. Pensez à l’intérêt de vos enfants, qui doit aussi passer par la bonne santé morale de leur maman. Quel sera pour eux le meilleur contexte pour leur épanouissement ? Des parents en guerre ? N’oubliez pas que vous avez des droits à faire valoir et que votre mari vous doit respect, protection et justice. Le Coran va dans ce sens. Ce serait dommage de ne pas s’en inspirer.

La rubrique « Psycho », qu’est-ce que c’est ?

Des psychologues et psychanalystes répondent à vos questions. Musulman(e)s du Maghreb ou de France, professionnel(le)s actif(ve)s exerçant en cabinet, ils réfléchissent à votre problématique et tentent de vous éclairer à travers leur expérience professionnelle et leur pratique spirituelle. Ils peuvent vous aider à y voir plus clair en vous-même ou à mieux décrypter le comportement des personnes de votre entourage.
Ils ne sont pas médecins, même si on les désigne parfois comme des « médecins de l’âme », mais leur rôle est de vous aider à trouver en vous-même la meilleure réponse à vos interrogations sur vos relations aux autres, votre conjoint ou conjointe, vos parents, vos frères et sœurs, vos amis, vos collègues de travail, vos voisins...
Alors, n’hésitez pas, interrogez-les, ils tenteront de vous répondre en s’éclairant des plus belles pensées de l’islam.
Contactez-les (anonymat préservé) : psycho@saphirnews.com




Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par lakhdar le 15/02/2014 13:24 | Alerter
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Vraiment une rubrique qui ne sert a rien, en tout cas pour la réponse de la "psychanalyste", j'avais même pas fini de lire le témoignage que j'anticipait la réponse toute téléphonée de cette pseudo psy... bref ma soeur, crains Dieu et il te réservera une issue, beaucoup de couple rêvent de vivre dans un pays musulman dans lequel tes enfants pourront s’épanouir loin du climat délétère de France... personne ne regrette d'avoir patiente dans le bien.

2.Posté par Noor le 15/02/2014 14:55 | Alerter
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Salam,

Demande le divorce car tu n'as pas le choix.
Bon courage

3.Posté par Samkeslas le 16/02/2014 14:26 | Alerter
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Salam salima,
Il est de ton devoir de suivre ton mari qui est aussi le père de tes enfants. Tu as la chance de te trouver dans un pays musulman. Recentré toi sur ta religion et sur l'éducation de tes enfants. Si ton mari est très attaché à sa famille, fais tout ton possible pour qu'il s'attache aussi a toi et ses enfants. En te voyant plus pieuse, plus portée sur la spiritualité, il ne pourra que retomber amoureux de toi. Quoiqu'il en soit, remets en toi a Dieu le Tout Puissant et profite de ce changement pour te transformer. N'oublie que tu as la santé ainsi que tes enfants. C'est lorsque l'on ne la plus que tout devient vraiment critique. Qu'Allah te facilite la naissance du prochain bébé!

4.Posté par Amel le 16/02/2014 14:47 | Alerter
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Salam ma soeur,
Je ne comprends même pas que tu te poses la question de suivre ton mari.Ta vie est à côté de ton mari et nul part ailleurs alors arrêtes de faire ces caprices et va le rejoindre en Arabie Saoudite...Tu prives tes enfants de vivre avec leur père parceque tu as peur de ne pas pouvoir conduire? !! c'est quoi cette façon de raisonner franchement c'est irresponsable !!

5.Posté par K le 16/02/2014 22:44 | Alerter
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Salam aleykoum.

Qu'Allah te facilite toute chose ma sœur.
J'espère in cha Allah que tu liras mon commentaire et que tu appliqueras mes conseils ma sœur fiLah.
Moi oukhty je te souhaite le Bien.
Je te conseille seulement deux choses très facile. La première est de demander a Allah dans tes prosternations lorsque tu pries et en plus je te conseille aussi de faire la prière de consultation.
Bien sur aussi des douas et des demandes de pardon. Mets ta confiance en Allah.

C'est ça la solution.
Salam aleykoum.

6.Posté par julia le 17/02/2014 23:00 | Alerter
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Es salam aleykoum,

votre histoire semble un eu compliqué. Ne vous connaissant pas, je pense que personne ne peux juger vos dires. Peut-être que votre mari est aussi dur que vous le dites. Mais peut-être que c'est seulement une mauvaise passe. En tout cas, je sais d'expérience que prendre une décision lorsqu'on est fâché ou triste est la dernière des choses à faire : on dit souvent malheureusement des mots qui dépassent notre pensée.
Je me dis aussi que peut être vous n'avez pas assez discuté de ce nouveau déménagement. Et le fait de partir à l'inconnu vous effraie certainement. Essayez de voir le bon côté des choses. L'Arabie saoudite n'est pas un pays où les femmes vivent toujours enfermées. Cette image est erronée. Si l'âge de vos enfants vous le permet, vous pouvez essayer d'y trouver vous aussi un travail si vous parlez l'arabe ou bien - pourquoi - vous inscrire à des cours de Coran par exemple (ou autre chose). Mettez ce temps à profit. C'est dommage de rester sur l'image de la femme qui ne conduit pas. De toute façon, dans plein de pays arabe, la femme - bien que la loi les y autorise - évitent de conduire par peur d'avoir un accident (moi la première).
Et puis, un dernier conseil : le fait de voir son conjoint toujours en train se de plaindre peut agacer. Je ne vous connais certes pas; mais réfléchissez un peu et demandez vous si lorsque vous parler ensemble (vous ou lui) êtes agressif l'un envers l'autre. Juste le fait de s'en apercevoir et de parler avec douceur, d...  

7.Posté par sonia le 21/02/2014 00:34 | Alerter
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Salam

Je trouve les avis donnés totalement étranges.
Ce mari n'aime pas sa femme et le lui fait savoir, il est presque quasi certain qu'il va prendre une seconde épouse et qu'il prépare psychologiquement sa femme à ce fait, lui rappelant qu'il reste avec elle uniquement à cause de ses enfants.

Ce mari n'a jamais voulu assumer son mariage, puisqu'il s'est refusé à venir vivre en France.

Ce mari n'aime pas les proches de cette femme, c'est tout dire, c'est plus que du désamour puisqu'il ajoute à cela l'absence de respect. Elle va devoir vivre loin de ses proches.

Il faut arrêter de penser que l'Arabie Saoudite est un exemple en matière d'Islam et qu'y faire vivre ses enfants serait une garantie de leur futur piété. La piété n'a jamais dépendu d'un lieu, elle s'inculque par les parents fussent ils au Pôle nord. D'ailleurs l'Islam s'est développé aux quatre coins du monde et n'est pas auto-centré autour de ce pays.

Enfin, appelons un chat un chat, un homme et une femme qui ne s'aiment plus ne pourront jamais offrir un foyer stable à leur progéniture. Devoir accomplir son devoir conjugal sous la contrainte d'une étiquette 'celle d'épouse" ou de "mari" n'a jamais été un exemple en Islam puisque le consentement mutuel est à la base d'un mariage.

On demande souvent aux femmes de patienter, certes la patience est une vertu mais parfois c'est aussi dans certains contextes une forme d'entêtement, une manière de temporiser l'heure de la prise de décision en laissant les événements décider ...  

8.Posté par Ducon le 21/02/2014 06:30 | Alerter
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AAAllllllaaaaaaaaaaahhhhhhhllllllllaaaaa... au bar !

9.Posté par ILC le 11/03/2014 19:48 | Alerter
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Madame,

Mieux vaut vivre seule que mal accompagnée. Vous vous préparez à des jours très durs si vous restez avec votre mari qui ne semble plus avoir de sentiments à votre égard. Il va prendre une autre femme, ce que j'ai souvent constaté en ARABIE SAOUDITE et vous vous souffrirez. Partez avant qu'il ne soit trop tard. C'est votre salut et celui de vos enfants

10.Posté par Seyida le 20/03/2014 23:39 | Alerter
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salem,

je crois, malheureusement, que la proximité de la belle famille est un fléau des peuples arabes, et tant que le respect d'autrui n'est pas inscrit dans les précis d'éducation des arabo-musulmans ce type de situation se perpétuera ad vitam aeternam.
Ce monsieur tout musulman qu'il est, n'a pas le adeb nécessaire pour considérer que le respect de son épouse est d'abord un devoir pour en islam, celui de sa belle famille également.
A priori, le respect de l'enseignement divin ne le dérange il n'est pas étonnant qu'il ne respecte pas non plus celle qui porte sa progéniture et qu'il a un jour choisi.
Et pour finir, et sans vouloir vous attrister davantage, lorsqu'il aura pris une deuxième femme, même les enfants parce qu'ils seront les vôtres ne l intéresseront plus, et vous serez toujours une mineure.
pensez à vous mais surtout à vos enfants et à leur avenir, Allah n'a jamais dit qu'il fallait supporter la vilénie et l'humiliation ; questionnez votre cœur, et demandez l'aide du seigneur mais n'écoutez pas ceux qui vous disent de patientez, un jour une femme m'a dit : "le cimetière est rempli de celles qui ont patienté" ('el jabbana melyanna sbar) alors vous savez les conseilleurs ne sont jamais les payeurs.

j'aurais juste envie de vous dire "SAUVES-TOI LOLA" tant qu'il est encore temps

quelle que soit votre décision je vous souhaite tout le courage du monde, et qu'Allah vous accompagne et vous guide vers la lumière

Seyida

11.Posté par mohammed-bilal le 02/04/2014 11:57 | Alerter
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bismillahi rahmani rahim...

Machallah encore une histoire qui pose la question de l'état de notre communauté ,des musulmans et et de la oumma en générale..on vit ces époques ou les choses sont mal compris ou mal appliquer ..le plus grand mal qu'on se fait est dans le 'akhlaq (le comportement) et chacun à sa part et sa faute ..souvent on reproche des choses aux hommes surtout dans les sentiments type:" il m'aime plus ou il y a plus ce-ci " hors rappel toi que cette homme justement t'as aimé et voyais en toi la femme de sa vie .alors ma remise en question est de rigueur" qu'est-ce que je n'ai pas accompli pour perpétuer ce sentiment d'amour"? regarde dans ton deen ,ta pratique ? comme tu dis tu étais une femme qui travaillais autonomie donc je pense que tu devais avoir beaucoup moins de temps pour apprendre ton deen et d’évoluer pratiquement , portais-tu le hijab ?et si non est-ce pas un sujet que ton mari t'as déjà reprocher ? en tout cas je sais qu'une cause d’éloignement des sentiments chez un Homme qui aspire a la piété et a vivre l'islam a la sunna donc prophétique est l'importance qu'il accorde à sa femme dans son évolution de sa pratique scrupuleuse religieuse et sa piété..puis vient l'aspect de caractère qui faut l'avouer nos femmes ont oublier qu'elle n'ont pas le droit de rentrer en guerre avec leur mari et si il ya des choses a dire ou des reproches a faire ou des mal entendu ,la hikma de la femme est dans sa douceur et cela doit être sa qualité .l'homme est fier d...  

12.Posté par Carolyne le 10/04/2014 03:30 | Alerter
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Bonsoir, je ne suis pas arabe, ni musulmane. Je suis québécoise et je suis tombée sur votre histoire par pur hasard. Votre histoire me touche beaucoup puisque je vis quelque chose de similaire avec mon mari, originaire du Pérou. Mon fils n'avait que 6 semaines lorsqu'il a commencé à faire des allers-retours dans son pays natal et commencé à vouloir s'établir là-bas. Au début, j'étais plus ou moins d'accord mais je comprenais qu'il n'était pas heureux ici. Toutefois, lorsque j'en ai eu assez de me débrouiller seule (argent compris car il ne paie rien), j'ai commencé à mettre mes conditions qu'il faisait mine de respecter, mais qu'il réussissait toujours à détourner et ne respectait finalement pas. J'ai été longtemps tourmentée par ce que je devais faire. Premièrement, j'étais malheureuse car je ne me suis pas mariée pour vivre la pire des solitudes. deuxièmement, je ne voulais pas d'un père absent. J'ai tout fait pour le raisonner... Rien à faire. Son moyen de contester était de ne jamais m'aider financièrement étant au Québec pour me démontrer qu'il avait raison de vouloir retourner chez lui. Ce sont des salades. Ces hommes manquent de respect. Que votre Dieu porte le nom que vous voudrez, les femmes ne sont pas des esclaves à leur service. Faites-vous respecter et donnez-vous le droit de vivre heureuse et aimé. Pour ma part, avec beaucoup d'aide (je n'avais plus d'estime de moi à force d'être manipulée par cet être égoïste que je croyais connaître), je me suis séparée. En...  


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