Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, vendredi 21 juin, 32 catholiques fondamentalistes pour entrave à la liberté d'expression, après avoir perturbé, en octobre 2011, la pièce de théâtre de Romeo Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », présentée au Théâtre de la Ville à Paris.
Les perturbateurs, affiliés notamment au mouvement fondamentaliste catholique Civitas, avaient jugé cette pièce « cathophobe ».
Trois ont été condamnées à des amendes de 1 500, 1 800 et 2000 euros. Les autres ont été condamnées pour la plupart à des amendes de 600 à 800 euros, très loin des 5 000 euros requis par le ministère public.
La Ville de Paris, qui avait porté plainte contre les responsables des dégradations, « a pris connaissance avec satisfaction du jugement rendu ce jour par le Tribunal de Grande Instance de Paris » et rappelle dans un communiqué « qu’elle condamne avec la plus grande fermeté toute action visant à entraver le principe de la liberté de création et d’expression, valeur fondamentale de notre République ».
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Les perturbateurs, affiliés notamment au mouvement fondamentaliste catholique Civitas, avaient jugé cette pièce « cathophobe ».
Trois ont été condamnées à des amendes de 1 500, 1 800 et 2000 euros. Les autres ont été condamnées pour la plupart à des amendes de 600 à 800 euros, très loin des 5 000 euros requis par le ministère public.
La Ville de Paris, qui avait porté plainte contre les responsables des dégradations, « a pris connaissance avec satisfaction du jugement rendu ce jour par le Tribunal de Grande Instance de Paris » et rappelle dans un communiqué « qu’elle condamne avec la plus grande fermeté toute action visant à entraver le principe de la liberté de création et d’expression, valeur fondamentale de notre République ».
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