Les membres du gouvernement palestinien d'unité nationale prêteront serment samedi après le vote de confiance du parlement, dont l'issue ne fait aucun doute, déclare un député du Hamas.
"Le gouvernement remportera facilement ce vote de confiance", a dit Salah al Bardaouil, porte-parole du groupe parlementaire du Hamas.
Le Conseil législatif doit se réunir samedi à 11h00 (09h00 GMT) à Gaza. Le vote sera précédé d'une allocution du président Mahmoud Abbas, dont le Fatah a accepté de s'allier au Hamas au sein d'un gouvernement dirigé par le Premier ministre Ismaïl Haniyeh.
Ce dernier prendra également la parole pour prononcer son discours de politique générale et présenter les membres du gouvernement qu'il soumet à la confiance des parlementaires.
Les ministres prêteront ensuite serment dans les locaux de la présidence, a ajouté Bardaouil.
Les Palestiniens attendent de ce gouvernement d'unité, issu de l'accord conclu le 8 février à La Mecque sous l'égide des Saoudiens, qu'il mette un terme aux violences de rue et amène les Occidentaux à lever les sanctions financières qui pèsent sur l'économie palestinienne.
Mais rien ne garantit qu'il y parviendra.
La France a cependant invité à Paris le nouveau ministre des Affaires étrangères, Ziad Abou Amr. D'après des diplomates européens, la Grande-Bretagne envisage pour sa part d'autoriser les contacts diplomatiques avec les ministres non issus du Hamas.
"Le gouvernement remportera facilement ce vote de confiance", a dit Salah al Bardaouil, porte-parole du groupe parlementaire du Hamas.
Le Conseil législatif doit se réunir samedi à 11h00 (09h00 GMT) à Gaza. Le vote sera précédé d'une allocution du président Mahmoud Abbas, dont le Fatah a accepté de s'allier au Hamas au sein d'un gouvernement dirigé par le Premier ministre Ismaïl Haniyeh.
Ce dernier prendra également la parole pour prononcer son discours de politique générale et présenter les membres du gouvernement qu'il soumet à la confiance des parlementaires.
Les ministres prêteront ensuite serment dans les locaux de la présidence, a ajouté Bardaouil.
Les Palestiniens attendent de ce gouvernement d'unité, issu de l'accord conclu le 8 février à La Mecque sous l'égide des Saoudiens, qu'il mette un terme aux violences de rue et amène les Occidentaux à lever les sanctions financières qui pèsent sur l'économie palestinienne.
Mais rien ne garantit qu'il y parviendra.
La France a cependant invité à Paris le nouveau ministre des Affaires étrangères, Ziad Abou Amr. D'après des diplomates européens, la Grande-Bretagne envisage pour sa part d'autoriser les contacts diplomatiques avec les ministres non issus du Hamas.