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Sur le vif

Macron appelé à condamner publiquement les discriminations et les amalgames contre les musulmans

Rédigé par Benjamin Andria | Mardi 15 Octobre 2019 à 17:21

           


Quelques jours après l’attaque dont a fait l’objet une femme musulmane au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, une tribune parue dans Le Monde signé par une centaine de personnalités et acteurs de la société civile appelle, mardi 15 octobre, Emmanuel Macron à « condamner publiquement cette agression dont cette femme a été victime devant son propre fils ».

Plus encore, le président de la République est appelé à « dire, avec force, que les femmes musulmanes, portant le foulard ou non, et les musulmans en général ont toute leur place dans notre société » et à « refuser que nos concitoyens musulmans soient fichés, stigmatisés, dénoncés pour la simple pratique de leur religion et d’exiger solennellement que cessent les discriminations et les amalgames envers une partie de notre communauté nationale ».

« Il en va de l’avenir de notre pays »

« Quelques élus, des personnalités, des anonymes aussi ont usé de leur voix sur les canaux de leurs réseaux sociaux pour dire leur colère, mais où est l’indignation générale ? », s’interrogent les personnalités. « De fait, l’émotion légitime qui devrait s’exprimer dans l’opinion est aux abonnés absents. (...) N’est-ce pas le ministre de l’intérieur lui-même, Christophe Castaner, qui a listé à l’Assemblée nationale "la pratique régulière et ostentatoire de la prière" et "la pratique exacerbée de la religion en période de ramadan" comme autant de "signes de radicalisation" à signaler, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que de conduites religieuses tout à fait banales chez les musulmans pratiquants ? », lit-on.

Lire aussi : Fiche « détection » à la radicalisation : quand l'Université de Cergy-Pontoise déraille

« L’extrême droite a fait de la haine contre les musulmans un outil majeur de sa propagande, mais elle n’en a pas le monopole. Des membres de la droite et de la gauche dites républicaines n’hésitent pas à stigmatiser les musulmans, et en premier lieu les femmes portant le voile, souvent "au nom de la laïcité" », déplorent les signataires, citant le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, dont le « oui mais » s’agissant de l’agression dont la femme a été victime au conseil régional en a gêné plus d’un.

« Malgré les nombreuses alertes des associations et des militants, malgré le travail de déconstruction des universitaires, nous avons trop longtemps laissé la voie libre aux interprétations dévoyées du principe de laïcité, semant la division et la haine. (…) Jusqu’à quand allons-nous accepter que la laïcité, socle de notre République, soit instrumentalisée pour le compte d’une vision ségrégationniste, raciste, xénophobe, mortifère de notre société ? Acceptons-nous de nous laisser sombrer collectivement ou disons-nous stop maintenant, tant qu’il est encore temps ? », lit-on encore. Le chef de l'Etat est instamment appelé à réagir car « il en va de l’avenir de notre pays ».

Voir aussi la vidéo – La Casa del Hikma : La laïcité, un outil contre les religions en France ?

Lire aussi :
Contre la radicalisation, ne tombons pas dans le piège tendu par les charognards de l'unité nationale
La laïcité pour principe rassembleur: lettre ouverte au Président de la République sur les parents accompagnateurs aux sorties scolaires




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27.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 17/10/2019 22:30 | Alerter
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Je ne me moque pas de vous, je fais des distinctions basées sur la réalité.

Vous, par contre, semblez vouloir identifier crime envers des populations avec "racisme" et donc quand une crime n'est pas racial mais envers les tenants d'une religion, vous en déduisez qu'attaquer une religion est du racisme. Cela s'appelle jouer sur les mots et n'a pas grand intérêt en soi. Il y a des crimes contre les populations qui ne sont pas "racistes", tout simplement, et s'attaquer à une religion en général n'est PAS raciste. Tout simplement. C'est autre chose.

L'appropriation d'un signifiant comme mot et son utilisation dans le combat politique est une stratégie bien connue et qui se voit pour peu qu'on fasse attention.
Par exemple, le port d'un voile noir couvrant entièrement le corps des femmes est une obligation privant toutes les femmes de liberté dans des pays entiers.
Profiter du fait qu'il n'y a pas d'obligation vestimentaire dans un pays donné pour considérer que la même obligation y est une "liberté" est une manière cynique de jouer avec les mots.
De la même manière, qualifier de "raciste" la dénonciation de cette pratique, sous le prétexte que les victimes de l'obligation sont recrutées dans une population d'origine particulière est une autre manière de jouer avec les mots.

Les deux cas que je cite sont bien sur les deux principaux exemples de manipulation du langage pratiquées (avec plus ou moins de succès) par les tenants de l'islam politique à la manoeuvre dans les médias. Ce...  

26.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 17/10/2019 22:09 | Alerter
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Il nous faut donc définir, c'est intéressant, le "politique". J'ai une définition: c'est le "lieu" (au sens figuré) de la différence entre amis et ennemis.
Partout où on a des ennemis, il y a du politique et réciproquement.

Les syriens dont vous parlez sont considérés comme des ennemis, c'est pour cela qu'on les combat et qu'on les massacre. Leur religion n'est qu'un prétexte à une lutte politique.

Qu'est ce qui fait qu'on considère quelqu'un comme un ennemi ? C'est quand il y a des divergences d'intérêt, quand on veut les mêmes ressources exclusivement, ou quand on est en désaccord sur les moeurs ou sur la théologie. et qu'on ne peut plus de vivre ensemble à cause de cela.

Notez bien qu'on est pas obligé de se faire la guerre, on peut juste convenir de règles du jeu (des lois votées à la majorité, valables jusqu'a ce qu'on les change) et donner son avis en guise de combat pour convaincre des électeurs. On peut aussi s'isoler dans des communautés organisées selon des lois distinctes et établir des modes d'échanges négociés.

Puisque vous introduisez la religion là dedans, vous devez savoir que les religions peuvent ou non être un enjeu politique. Par exemple, la religion catholique l'a été longtemps. Aujourd'hui, ce n'est absolument plus le cas et les catholiques se répartissent sur tout l'échiquier politique à part égales: la pratique de la religion catholique est "neutre" politiquement.

L'islam est par nature et depuis son origine une religion politique dans la mesure où i...  

25.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 21:59 | Alerter
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Ben non. Ce que vous dites est faux.
Ce ne sont pas des arabes, des blancs, ou qui sais-je qui sont les acteurs de l'Histoire mais leurs décisions.
Hors vous dites le contraire.
Leurs décisions (pour faire valider votre raisonnement vous prenez à témoin l'Histoire), les choses donc, sont vraies partout et tout le temps puisqu'elles ont déjà été vraies. C'est ce que vous dites.
Vous confondez les etres et les choses.
Or, les choses sont vraies partout, tout le temps, à toutes les époques, sous n'importe qu'elles conditions ou bien alors c'est qu'elles ne le sont pas.
Les etres contrairement aux choses (ici l'Histoire) sont en devenir. Nous avons tous un passé (le notre) mais nous ne sommes pas le passé (celui des autres)
Vous dites en vous référant à l'Histoire aujourd'hui est hier, puisqu'hier il a pu se passer ceci, il a pu se produire cela.
Et oui. C'est ce que vous dites. Le passé et maintenant c'est pareil.
Je vous résume François.
Hier il a pu se produire cela sans origine, sans impulsion, sans décision.
Ce qui pourrait se produire serait en quelque sorte de l'ordre du divin. Via les croyances ou origines des personnes.
C'est ce que vous dites.
Le vrai, le juste se produisant indépendamment des actions de l'homme.
Tandis que la vérité est que des hommes ont élaboré des théories, ont eu les possibilités d'agir sur leurs destins en optant pour un choix ou un autre.
Islamité, arabité, hébraisme, judéité, christianité ou blanchité n'ont rien à voir dans l'affaire. Ce sont ...  

24.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 20:05 | Alerter
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François. Vous partez du postulat les signes extérieurs de foi sont une opposition politique, vous faites de citoyens lambdas des politiciens.
Vous ne faites que reprendre à votre compte l'idée diffusée et communément admise chez nous.
Vous dites exactement ce que je dis mais autrement avec ma phrase les musulmans ou les musulmans. Les "arabes dits intégrés" ou les autres les "arabes pieux".
C'est de ça dont il est question. D'où mon à quand des arabes anti judaisme dans nos médias afin de vérifier si le postulat de départ est juste. A savoir signes extérieurs de foi égale politiciens partout et pour tous.

23.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 19:43 | Alerter
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De qui vous moquez-vous François.
Et les chrétiens en Syrie qui ont été visés et déclarés ennemis avec un signe chrétien sur leurs maisons afin de faire savoir qu'ils l'étaient dans le but de les liquider.
Ils ne sont bien entendu pas une race mais ont été victimes de leur appartenance à une religion.
Des musulmans en Birmanie également l'ont été. Des juifs en Europe ont été tués pour leur judéité. Racisme ne signifie race mais rejet, haine, dégout d'une identité, d'une communauté.
Nombre de berbères se perçoivent comme étant des maghrébins de souche.
Ils sont le pendant de nos de souche à nous.
Racisé ne signifie pas non raciste.
Chez nous les maghrébins sont racisés.
C'est ce que je tente de dire en usant du terme bon arabe. S'il est raciste envers les siens (la culture arabo-musulmane) il est un bon arabe, s'il est raciste envers de non arabo-musulmans il devient un mauvais arabe (un mauvais raciste).
Un juif ne peut bien évidemment pas etre anti sémite.
Ni un arabe etre anti arabe.
Ou un blanc etre anti blanc. C'est absurde.
Ils ne peuvent etre respectivement qu'etre contre les idées de leurs semblables, les concepts, identités, visions qu'ils se forgent éventuellement en s'y opposant ou le contraire en les validant.
Et ce n'est évidemment pas du racisme.
Là ou ça le devient c'est lorsque l'on se met à s'en prendre à une culture, une confession, à l'identité de celui qui parle et pas à ce qu'il dit.
Là un arabe anti arabe se m'est à exister. Un juif se met à devenir an...  

22.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 18:15 | Alerter
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Je parle religion et vous me répondez parti politique.
Des personnes anti judaisme ou anti islam et vous me répondez partis politiques.
On a le droit d'etre contre un parti politique, tout le sens de la politique est d'ailleurs là, le fait de se voir des contradicteurs, des opposants.
Sans opposant elle devient un parti unique.
Critiquer est un passage obligé.
Faire des signes extérieurs de foi un problème. C'est ça le sujet.
Qu'ils puissent etre juifs, musulmans ou chrétiens.
Faire de citoyens des opposants avec pour seul argument la visibilité de leur foi.
Je suis moi le républicanisme (la liberté) leurs symboles religieux sont une opposition politique inacceptable je suis moi le républicanisme, je l'incarne.
Il est question de religion et absolument pas de partis politiques, d'opposants dans ces histoires de foulards, de barbes ou djellabas.

21.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 16/10/2019 05:44 | Alerter
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Le mot de "racisme" ne peut pas s'appliquer à la dénonciation des adeptes d'une religion, qui ne forment une "race" dans aucune acception du mot.

Unifier berbères et noirs africains dans un seul concept de "racisé" est une ignominie qui ne construit que le concept lui parfaitement raciste de race "blanche" supposée ennemie. Cela pour ne pas évoquer les autres colonisateurs "marocain" ou "arabe" qui eux non seulement ont écrasé les dernières souverainetés africaines au profit d'un esclavagisme millénaire, mais continuent encore, en Kabylie par exemple, ou au Sahara, de nier des identités existantes respectables.
Le vrai racisme ignore toujours les humains, leurs histoires et leur identités.

De plus, le mot "antisémitisme" désigne spécifiquement, c'est l'usage, les juifs. Se dédouaner de ce racisme en se prétendant "sémite" est une farce. Quand on est berbère, en plus, la prétention à être sémite est en plus plutôt forcée

20.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 16/10/2019 05:32 | Alerter
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Edwy Plenel est régulièrement invité dans les médias. Il est le parangon de l'antisioniste soft et le défenseur régulier de l'islam politique "acceptable".
C'est le "chef" des islamo gauchistes, et il jouit d'un grand prestige grâce à son journal.

19.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 01:23 | Alerter
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François. Citez moi un seul anti judaisme invité récurrent des médias.

18.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 01:21 | Alerter
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Il ne le fera pas. Tout ce que sait faire la république française c'est prendre en otage le républicanisme (l'interpréter à des fins politiques)
Marteler comme son gouvernement le fait, musulman mais pas trop. Abat le foulard, dehors les barbes, ouste djellabas et calots. Un on est chez nous revu et corrigé. On est pas raciste nous, le républicanisme c'est nous.

17.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 00:50 | Alerter
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Ha oui! Citez moi un anti judaisme récurrent dans les médias.
Pas un banni. Mais un anti judaisme connu qui à sa place dans les médias (traduire reconnu et adoubé)

16.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 00:47 | Alerter
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On s'en fout de Mathusalem François.
Marre de ces discours à la noix comme quoi les berbères ne sont pas des arabes.
Nous memes ne sommes pas des romains. Ils étaient des colons.
Nous avons hérité de la confession qu'ils ont eux memes validé (le catholicisme) dont ils avaient eux memes hérité et qui été une confession moyen orientale.
Les chrétiens sont des métèques (des étrangers) comme les autres si on va par là.
On le sait, il existe des maghrébins anti arabe qui exècrent cette langue et qui détestent viscéralement la religion musulmane.
Ils sont d'ailleurs les invités permanents des médias.
S'ils vous séduisent grand bien vous fasse, mais pour une logique il vous faudrait à ce moment là valider les de souche quels qu'ils soient.
Hors vous ne le faites pas. Dès lors qu'il est question de musulmans vous avez à chaque fois la position inverse. C'est là ou l'on voit que vous etes un opportuniste et pas un idéologue.
On remarque que ce sont toujours cela qui sont invités sur les plateaux télés. Des arabes (oups des maghrébins) anti islam.
Ils sont d'ailleurs souvent juifs, chrétiens ou athées mais leurs noms à consonnance exotique suffit à leur donner une légitimité. Je ne suis pas raciste moi je suis issus d'un pays dit musulman. Lol.
Votre argument est la souchitude.
Tandis que supposés maghrébins de souche ou supposés français de souche ne font pour moi aucune différence.
La maghrébanité n'est pas un blanc seing.
Et la francité pas davantage.

15.Posté par Mythopasmytho le 16/10/2019 00:21 | Alerter
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On sait parfaitement du racisme anti musulman qu'il est un anti sémitisme (un racisme anti arabe).
Immigration, intégration, assimilation, meme le mot république est utilisé malmené afin de pouvoir le dire sans avoir à le dire.
République versus islam. Propagation de l'idée d'une supposée incompatibilité.
La république prend la posture de dénoncer la radicalité tandis qu'elle s'est mise à l'incarner.
La France est à mille lieue d'incarner le républicanisme, elle ne fait que le prendre en otage et l'utiliser à des fins racistes.

14.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 15/10/2019 22:17 | Alerter
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Pour vous répondre précisément:
- il n'y a pas de "bon" racisme et celui des indigènes en est un.
- l'immigration extra européenne actuelle ne s'est jamais vue dans l'histoire. Oui elle inquiète. Si elle rassurait, cela se saurait.
- l'Islam est culturellement et religieusement extrêmement différent des cultures européennes. C'est à lui de s'adapter à l'Europe, pas l'inverse.
- l'arabe anti juifs est parfaitement présent dans les médias: c'est l'islamo gauchisme anti-sioniste, les palestiniens, les indigènes de la république etc.

13.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 15/10/2019 22:09 | Alerter
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Les blancs, les blancs, les blancs.
On en avait parlé, vous semblez dériver ici dans l'amalgame raciste et semblez prendre le chemin de la revendication identitaire "racisée"
musulman=arabe=anti blanc.

Ce chemin est dangereux. Il est celui des indigènes de la république, otages d'un véritable racisme qui consiste à refuser la remise en cause de ... quoi ?

Et bien je vais vous le dire. De:

1) la pratique publique des religions, en particulier de celle qui s'est illustrée partout dans le monde et dans l'histoire par ses tyrannies, sociétales et politiques. Cela au mépris affiché des usages établis dans un pays où on vient de s'installer.

2) l'assimilation d'arabe à berbères. Le maghreb (d'où vient une grande partie de l'immigration française) n'est pas arabe mais berbère, et son arabité, résultat d'une colonisation impitoyable est tout simplement fausse, et exclusivement fantasmé par les fanatiques qui s'identifient au "pieux ancêtres", voir le point précédent.

3) le sentiment d'appartenance à la nation française de la part de personnes qui ne s'identifient pas à l'histoire et la culture française et qui souhaitent vivre suivant leurs lois, leurs coutumes et leurs religions sur un territoire dont ils espèrent obtenir le contrôle après s'y être installé.

Ce qui met en lumière ces attitudes inacceptables serait donc du racisme ?

De qui parle-t-on? Certainement pas de 50% de l'immigration musulmane en France qui:
- ne manifeste pas de manière visible sa religion qu'il pratique di...  

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