Le président sahraoui Mohamed Abdelaziz a espéré mercredi que le prochain secrétaire général de l'ONU, le Sud-Coréen Ban Ki-Moon, réussira à organiser un référendum "libre et démocratique" pour l'autodétermination du peuple sahraoui et ce, "dés le début de son mandat".
Dans un entretien à la radio algérienne, le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) a précisé que "la crédibilité des Nations Unies" passe par le respect du "principe du droit des peuples à l'autodétermination", et que la question sahraouie figure parmi les questions "les plus évidentes".
Il s'est dit convaincu que le prochain secrétaire général de l'ONU "oeuvrera à trouver une solution juste à la question sahraouie comme l'avait fait son prédécesseur Kofi Annan qui était parvenu à régler la question du Timor Oriental" et ce, a-t-il dit, "en dépit de l'entêtement du gouvernement marocain".
Les Nations Unies, a-t-il précisé, "ont reconnu, dans leur dernier rapport, les violations marocaines des droits de l'homme", ce qui constitue, selon lui, "une nouvelle victoire pour le peuple sahraoui".
Concernant un éventuel retour à la lutte armée, le président sahraoui a déclaré: "nous n'aimons pas la guerre, c'est le Maroc qui nous a imposé la guerre en 1975". Il a souligné que "si le gouvernement marocain persiste dans son entêtement, nous n'aurons d'autre choix que de défendre notre droit par tous les moyens légitimes".
Dans un entretien à la radio algérienne, le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) a précisé que "la crédibilité des Nations Unies" passe par le respect du "principe du droit des peuples à l'autodétermination", et que la question sahraouie figure parmi les questions "les plus évidentes".
Il s'est dit convaincu que le prochain secrétaire général de l'ONU "oeuvrera à trouver une solution juste à la question sahraouie comme l'avait fait son prédécesseur Kofi Annan qui était parvenu à régler la question du Timor Oriental" et ce, a-t-il dit, "en dépit de l'entêtement du gouvernement marocain".
Les Nations Unies, a-t-il précisé, "ont reconnu, dans leur dernier rapport, les violations marocaines des droits de l'homme", ce qui constitue, selon lui, "une nouvelle victoire pour le peuple sahraoui".
Concernant un éventuel retour à la lutte armée, le président sahraoui a déclaré: "nous n'aimons pas la guerre, c'est le Maroc qui nous a imposé la guerre en 1975". Il a souligné que "si le gouvernement marocain persiste dans son entêtement, nous n'aurons d'autre choix que de défendre notre droit par tous les moyens légitimes".