Mercredi, le ministre des Affaires étrangères du Vatican a déclaré que l'incompréhension entre les cultures engendrait une "nouvelle barbarie" de la part des extrémistes, et a souhaité que la raison et le dialogue empêche les fondamentalistes d'utiliser leur foi comme prétexte à des attaques.
Alors qu'il s'exprimait le jour de la clôture de l'Assemblée générale des Nations unies, l'archevêque Giovanni Lajolo a également déclaré que les extrémistes étaient loin d'être des croyants dévoués, et a souligné quelle religion ils prétendaient défendre.
"Les réactions violentes sont toujours une falsification de la vraie religion", a déclaré Giovanni Lajolo, en référence au discours du Pape Benoît XVI sur l'Islam, prononcé le 12 septembre à l'université de Regensburg (Allemagne).
Giovanni Lajolo a répété que, selon le Vatican, les propos du pape avaient mal été interprétés. Il a ajouté que le souverain pontife avait seulement souhaité promouvoir le dialogue rationnel et la compréhension, qu'il considère comme le contraire d'une vision réduite et du fondamentalisme.
Alors qu'il s'exprimait le jour de la clôture de l'Assemblée générale des Nations unies, l'archevêque Giovanni Lajolo a également déclaré que les extrémistes étaient loin d'être des croyants dévoués, et a souligné quelle religion ils prétendaient défendre.
"Les réactions violentes sont toujours une falsification de la vraie religion", a déclaré Giovanni Lajolo, en référence au discours du Pape Benoît XVI sur l'Islam, prononcé le 12 septembre à l'université de Regensburg (Allemagne).
Giovanni Lajolo a répété que, selon le Vatican, les propos du pape avaient mal été interprétés. Il a ajouté que le souverain pontife avait seulement souhaité promouvoir le dialogue rationnel et la compréhension, qu'il considère comme le contraire d'une vision réduite et du fondamentalisme.