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Sur le vif

Définir l’islamophobie : le gouvernement britannique nomme un imam au poste d'expert indépendant

Rédigé par Benjamin Andria | Lundi 29 Juillet 2019 à 12:34

           


Définir l’islamophobie : le gouvernement britannique nomme un imam au poste d'expert indépendant
Le gouvernement britannique a annoncé, mardi 23 juillet, jour de la désignation de Boris Johnson au poste de Premier ministre, la nomination d’un expert indépendant en charge de l’élaboration d’une définition officielle de l’islamophobie.

C’est Qari Asim, qui officie en tant qu’imam à la mosquée Makkah de Leeds, qui a été désigné pour ce travail. L’homme, très impliqué dans diverses organisations œuvrant dans le dialogue interreligieux, est également le directeur juridique d’un grand cabinet d’avocats. Vice-président d'un groupe de travail gouvernemental sur la haine antimusulmane, Qari Asim « dirigera le processus d’élaboration d’une définition de l’islamophobie ». Il s’appuiera, pour ce faire, « sur les définitions de l’islamophobie actuellement à l’étude, incluant celle de l’APPG ».

Ce groupe parlementaire multipartite a proposé, fin 2018, une définition selon laquelle « l’islamophobie est enracinée dans le racisme et en constitue une forme qui cible les expressions de ce qui est musulman ou de ce qui est perçu comme étant musulman ». Une définition qui a été rejetée en mai dernier par l’exécutif, qui n'a pas, pour autant, choisi de clore le débat.

Qari Asim est chargé d’analyser les divers points de vue sur la question en vue d’obtenir un large consensus. « Pour faire face à la montée alarmante du sentiment antimusulman, il est impératif de définir l’islamophobie », insiste l’imam, qui a réitéré son engagement à collaborer avec « toutes les communautés musulmanes et les parties prenantes concernées pour formuler une définition juridiquement solide, complète et réaliste de l’islamophobie ». Une définition reconnue par tous « aura un impact considérable sur la protection des Britanniques musulmans ».

Lire aussi :
Islamophobie : le gouvernement britannique refuse l'adoption d'une nouvelle définition




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26.Posté par Mythopasmytho le 06/08/2019 17:18 | Alerter
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Si Kant pense comme c'est très bien mais je n'ai jamais lu Kant.
"Abolir le savoir pour laisser place à la croyance, est-ce ce que vous avez voulu dire"
Non. Si c'est dans le sens croire en une religion non.
Mais après tout je peux parler comme un religieux sans meme le savoir, c'est possible. Seul un religieux pourrait dire s'il se reconnait dans le discours, la pensée, le propos.
Ce que j'ai dis hier c'est ma pensée qui l'a émis, pas moi.
On pourrait dire d'aujourd'hui que je suis un autre.
J'ai une certaine idée de ce que j'ai voulu dire hier, mais aujourd'hui je pourrais (je n'en suis pas certain) y répondre autrement que ce que j'ai fait hier, tout en disant pourtant la meme chose.

Ni vous ni moi ne le saurons jamais.

Pour le savoir il aurait fallu me le demander hier.
Ce n'est pas moi qui ait dit ce que j'ai dit, mais ma pensée qui elle meme émane de la pensée qui me sert à penser. Puisque moi, je ne suis jamais le meme.
J'ai écris le message auquel vous répondez hier.
Entre temps j'ai pensé à d'autres choses, je viens par exemple de répondre ici meme à un article évoquant des propos et analyse de monsieur Zemmour.

J'ai donc engrangé les perceptions d'un autre et quoique je fasse je ne peux pas les avoir entendues, pensées, connues. Je sais de ce qui existe que ça existe.
C'est ce que l'on appelle une connaissance.
Une connaissance est une transmission.
On peut ne pas connaitre une connaissance.
On peut ne pas savoir ce que d'autres savent.
Une connaissance est un sav...  

25.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 06/08/2019 08:19 | Alerter
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Votre histoire de l'intuition de l'espace est très kantienne, et je vous avoue être tout à fait d'accord avec ça, toute théorie de la connaissance ne pouvant, (c'est ce que je crois) que se baser sur nos cerveaux façonnés par l'évolution et donc par la nécessité de s'orienter dans l'espace de tous les jours... Kant n'est donc pas du tout démodé par la relativité, bien au contraire, et c'est d'ailleurs bien l'espace qui a gagné dans toute cette histoire. Au passage, alors que Dieu est transcendant, l'espace est transcendantal et ça fait du bien de le dire... L'identité l'est elle ? Cela en ferait plus qu'une croyance, en tout cas...

Votre distinction savoir/connaissance est intéressante, on en parle ailleurs, d'ailleurs... Mais ce n'est pas clair pour moi. Juste un point: c'est l'un des propos de Kant que de séparer savoir et croyance ("abolir le savoir pour laisser place à la croyance"). Est ce que c'est ce que vous voulez dire ?

24.Posté par Mythopasmytho le 05/08/2019 15:16 | Alerter
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Je suis d'accord avec tout et mpm ça me va.
Je suis entrain de dire en fait que de ce qui existe (de ce que j'ai inventé) que je le valide. Je me donne raison en vérité et tout simplement. Et vous y consentez.
Pourquoi. Parce qu'autrement si chacun de nous reste sur ses positions la vérité n'est que ce que l'on dit qu'elle est. Deux vérités existent sans qu'aucune des deux ne soient "réelles" "vraies" "juste"
Pour que quelque chose se mette à exister (à etre réel) il faut y consentir.
Nous nous mettons d'accord sur un imaginaire, une signification, un sens.
Nous donnons un sens à ce qui existe mais qui pourtant n'est pas réel.
Nous ne sommes pas tant contraints de définir les choses (dire ce qu'elles sont) mais de leur donner un sens. Puis il se met à devenir communément admis, à etre validé par le plus grand nombre et à devenir "réel"
Le fait d'etre doté de langage y contraint. Nous devons parler la meme langue ce qui implique des mots qu'ils doivent avoir un meme sens, ou plusieurs selon le contexte, ce dont on parle etc. Mais un meme mot meme s'il peut avoir plusieurs sens doit toujours avoir les memes significations.
Autrement si on ne se met pas d'accord, le français peut se mettre à devenir du chinois pour un français.
Je suis d'accord avec vous sur la question de l'identité. Je crois que nous croyons plus en avoir une qu'en avoir réellement une.
D'où ça vient un tel sentiment et pourquoi, peut etre inconscient nous obligerait à non conformer par crainte d'etre mis au...  

23.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 03/08/2019 16:49 | Alerter
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Bon, vous avez l'air d'y tenir, disons que j'utilisais "mytho" comme un diminutif amical, alors disons "mpm", mythopasmytho c'est long à taper... Intéressant tout ce que vous dites, en tout cas.

La question de l'identité est une question difficile, qu'on ne résout pas comme ça, voire qu'on ne résout pas du tout. Caractérisant de ce qui est unique, et donc différend, on voudrait pouvoir se l'attribuer tout seul, pour être sur d'être vraiment différent, alors que c'est le problème: on ne peut exister vraiment que si quelqu'un d'autre l'a déterminé... D'où cette histoire de paternité, qui n'a bien sur rien à avoir avec le fait que papa soit gentil ou non. Mais bon, il y a d'autres moyens de s'arranger, ça dépend des cultures et l'humanité est créative...

Quand à ce que l'on pense et dit, autre grande question, et bien c'est aussi une question difficile. Disons que si penser se fait dans un langage, donc en principe communicable, et bien cela veut dire qu'il est au moins possible que quelqu'un comprenne et pense quelque chose d'approchant. Ainsi il serait possible de ne pas parler tout le temps pour ne rien dire ! Quelle exhaltante possibilité !

22.Posté par Mythopasmytho le 02/08/2019 18:45 | Alerter
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Admettons que je n'ai jamais entendu ce prénom.
Il pourrait devenir n'importe qu'elle interprétation si je ne l'ai jamais entendu.
Instinctivement ou cherche un sens au mot.
François est donc un héritage. Il faut l'avoir déjà entendu pour déterminer ce que signifie ce mot.
Les prénoms sont des mots comme les autres.
Les noms également. Si je m'appelle Boucher pour que d'autres puissent arriver à le déterminer il faut que je le dise.
En formulant une phrase qui amène à faire comprendre que c'est de mon nom dont il est question.
Autrement Boucher tout seul ne signifie rien. Ou François (pour un étranger) également peut ne pas avoir de sens.
Tout ce que l'on peut savoir d'un mot c'est si on le connait ou si on ne le connait pas. Et pourtant les deux à moins de les avoir inventer soi meme ne peuvent etre qu'une transmission.
Autrement on ne pourrait prononcer ni l'un ni l'autre.
On est contraint d'en inventer pour nommer de nouvelles choses, d'autres se mettent à devenir désuètes et des termes se mettent à ne plus etre utilisés. Tout ce qui à un jour existé ne peut pas ne plus avoir existé.
Ou oublie les choses juste, mais ce qui à existé un jour ne peut pas ne plus avoir existé.
On invente de nouveaux mots donc, pour nommer les choses, mais ce qui fait leur origine n'est pas tant la langue, c'est de quoi on parle qui fait naitre les mots.
Et donc pas les choses qui font naitre les idées mais les idées qui font naitre les choses. L'idée d'un troll par exemple. J'en suis peut e...  

21.Posté par MythopasMytho le 02/08/2019 16:28 | Alerter
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Mais c'est qu'il y tient le bougre. Lol.
MythopasMytho et Mytho n'ont pas le meme sens.
Autrement je m'appellerais Mytho.
Un peu de jugeotte enfin.
Dorénavant je vous appellerais Mytho à vous aussi. Je vais en faire un prénom. Lol.
Echanger avec vous revient un peu à parler tout seul.
D'un autre coté je ne peux que constater que vous acceptez l'échange et que donc vous y trouvez un intérêt. Lequel c'est à vous de le définir.
Vous etes un sourd non sourd en quelque sorte. Lol.
Vous piochez, vous vous bricolez une ligne, un sens sans tenir compte de ce que dit l'autre.
Par contre dès lors que ça vous intéresse, ce que dit l'autre devient quelque chose qui est à considérer.
Comment faites vous vos choix. Ca j'tiens pas compte. Ca je tiens compte.
MythopasMytho par exemple qui devient Mytho.
Quand bien meme je vous dise que l'un et l'autre ne sont pas deux identiques (pour moi) vous dites, ça j'tiens pas compte. Ils sont identiques.
Vous parlez tout seul ou bien c'est moi.
Quant à François lui, il se met à devenir un héritage et se met à avoir du sens.
On ne devrait pas en changer car ce serait douloureux et ce serait s'inventer une identité
On devrait aussi pouvoir en changer mais ce serait s'inventer une identité au profit d'un autre (qui?) puisque le faire est également une transmission.

Je vais vous en boucher un coin je suis d'accord avec vous.
Dès lors que l'on se choisit une autre "identité" (si l'on considère que s'en est une) c'est aussi forcément un héritage à moins de...  

20.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 01/08/2019 21:02 | Alerter
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Mon cher mitho, ou meeto ou le contraire (les mots ont souvent un sens caché qui les accompagne quoiqu'on fasse), le nom c'est l'identité et vous avez raison de la défendre, et me faites beaucoup d'honneur de vouloir me l'attribuer...

Néanmoins, vous n'êtes pas sans savoir que donner un nom c'est quelque part transmettre quelque chose; c'est pour cela que traditionnellement on donne ce pouvoir au père d'un enfant, celui ci (l'enfant) étant sensé l'accepter explicitement et le respecter pour la vie, en pour le prouver, en transmettant à son tour.

S'il est possible de changer d'identité, cela se fait toujours très douloureusement,
car cela suppose la rupture de ce lien là, mais au profit d'un autre. Le problème est que l'autre lien, et c'est là toute la difficulté, doit lui aussi pré-exister sous forme transmissible.

A moins que l'on considère, et c'est l'une des folies du monde moderne, que l'on peut s'inventer des identités, et rompre complètement qui avec son grand père, qui avec le vôtre... Pour ma part, je dirais qu'on peut rompre, mais il faut le dire.

Rien n'est pire qu'un faux héritage, comme si on devait porter toujours en soi un fantôme dont on nie l'existence. Vous savez, en plus du logique, il y a le symbolique...

19.Posté par Mythopasmytho le 01/08/2019 20:50 | Alerter
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Faire de la politique c'est s'intéresser à la vie dans sa cité.
A la société donc.
Mais pas forcément en ayant une idéologie, par exemple etre de droite, conservateur et libéral.
C'est s'intéresser à la vie de sa cité, avoir des idées indépendamment d'un bord politique ou un autre.
Etre politicien c'est autre chose.
C'est avoir un bord politique et gravir les échelons afin de parvenir à imposer ses idées, sa vision, sa conception de ce que doivent etre les choses.
C'est devenu une profession.
Comme s'il y avait deux mondes. Et le politicien somme de choisir son camp.
Les citoyens sont des hommes et femmes politiques comme les autres (ils ont eux aussi des idées) mais à notre époque on estime que s'intéresser à la vie citoyenne ne va pas sans étiquette, sans bord politique.
Moi il faut me ranger dans une case. Vous il faut vous coller une étiquette. Un autre il faut le cataloguer etc.
C'est ainsi que ça fonctionne aujourd'hui. Le politicien à besoin de savoir qui pense quoi afin de savoir lui meme quoi penser.

18.Posté par MythopasMyhto le 01/08/2019 19:53 | Alerter
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François je ne critiquais pas les droits de l'homme. Je disais des termes universalité et universalisme qu'ils n'avaient pas tout à fait le meme sens.
Je ne sais pas si l'islam politique (ou christianisme ou judaisme ou autres ismes) critique les droits de l'homme, je suis nul en politique.
Mes critères sont essentiellement la logique moins que la politique.
D'ailleurs on devrait dire les politiciens et pas la politique.
Parce que les politiciens……
Tous des carriéristes et ce qui va avec. Intérêts personnels ou financiers, populisme, corruption etc.

17.Posté par Mythopasmytho le 01/08/2019 19:34 | Alerter
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Mon pseudo n'est pas Mytho mais MythopasMytho.
Je me suis permis de vous appeler François car c'est un prénom.
Mais MythopasMytho n'est pas un prénom, il a un sens.
François quant à lui n'en a pas.
Pourquoi MythopasMytho. Je vais vous le dire.
Parce que je considère que je pourrais etre vous par exemple et au hasard.
MythopasMytho est un peu l'équivalent de mettre des guillemets à tout ce que l'on dit.
Comme si un autre que moi l'avait dit.
Mytho et pas Mytho sont une seule et meme personne.
Mytho tout court ce n'est pas moi. Ou bien alors c'est aussi vous.
Veuillez donc je vous pris ne pas écorcher mon pseudo. Autrement j'écorche le votre.
François. Vous meme etes également un MythopasMyhto.
Comment puis-je etre certain que ce que je dis quelqu'un ne l'a pas déjà dit avant moi.

Ou de ce que vous dites qu'un autre ne l'a pas déjà dit avant vous et donc que vous n'inventez rien. Que ça peut meme etre la vérité puisque la vérité ce n'est jamais qu'etre validé par un autre.
Ou le contraire.
Soit vous etes le premier à dire ce que vous dites. Ou moi. Ou n'importe qui.
Soit quelqu'un l'avait déjà dit avant.
Si quelqu'un a déjà dit ce que l'on dit implique que quelqu'un ait pu dire (ou faire) à un moment donné quelque chose qui lui en suggéré l'idée.
Ca ou bien alors nous ne pouvons etre que les premiers.
Sachant que ce sont les choses qui font naitre les idées et pas les idées qui font naitre les choses il faut obligatoirement penser à quelque chose pour pouvoir émettre des idée...  

16.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 01/08/2019 09:28 | Alerter
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Mon cher mytho, dans votre message 8 vous évoquez l'idée, à mon avis juste, que l'universalisme devient racisme s'il s'accompagne d'une ignorance des traditions et coutumes.

Simplement dans un pays particulier, par exemple la France, l'universalité du droit existant s'applique à tous (c'est le sens un peu maladroit, je vous l'accorde, que je donne à "universalité"), mais EN FRANCE seulement, où ne peut pas s'appliquer AUSSI (selon moi) d'autres lois, par exemple la musulmane.

Cet oubli des traditions françaises par l'islam politique est ainsi un racisme, et cela selon votre propre affirmation, avec laquelle je me déclare d'accord. C'est un peu tordu, je vous l'accorde, mais de bonne guerre, non?

Les droits de l'homme, (à quoi vous avez associé, un peu rapidement aussi, le mot "universalisme") c'est autre chose. Il y a donc une double mécompréhension entre nous. Mais cela peut se régler.

Par contre, si vous associez droits de l'homme à universalisme, vous semblez (mais je n'ai peut être pas compris) donc les associer à une forme de racisme, cela d'après votre message 8. Cette critique des droits de l'homme est assez typique de l'islam politique, au demeurant, mais vous ne les prenez sans doute pas à votre compte.

Pour expliciter le message 13: je dénonce absolument l'utilisation pénalisante du mot "islamophobie" qui vise explicitement à associer critique de l'islam et racisme. Au contraire, j'affirme que faire cela est "raciste" en ce que cela
identifie des personnes (typiq...  

15.Posté par Mythopasmytho le 31/07/2019 18:21 | Alerter
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Vous avez évoqué l'universalité du droit.
J'ai répondu universalisme. Par erreur, j'ai lu comme on le fait généralement sur un forum, vite fait en diagonale.
Vous reprenez ensuite le terme universalisme que j'ai mentionné.
L'universalité des droits c'est les droits de l'homme François.
L'universalisme quant à lui est un terme moins précis.
Vous parliez d'un chose (les droits de l'Homme) je vous ai entrainé vers le mot universalisme et vous ne vous en etes meme pas aperçu.
Quoiqu'il en soit je n'ai toujours rien compris de votre message 13.

14.Posté par Mythopasmytho le 31/07/2019 17:30 | Alerter
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Alors là François je passe mon tour. Je n'ai rien compris. J'ai relu deux fois mais je n'ai rien compris. Trois fois meme. Je viens de relire. Je n'ai vraiment rien compris.

13.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 30/07/2019 21:33 | Alerter
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Ce que vous dites de l'universalisme est très juste, mais je ne tombais pas sous votre critique: le droit est universel dans sa zone d'extension, comme vous le dites très bien. Il ne peut donc y en avoir plusieurs, et il est hors de question que le droit musulman s'applique même partiellement là où le droit laïque antérieur, ses traditions et ses préceptes s'appliquent, vous avez raison.

Vous avez même raison de parler de "racisme": la dénonciation de l'islamophobie comme racisme, c'est à dire l'identification accusatrice du rejet d'une religion invasive (qui veut imposer ses lois) à une soit disant haine contre des personnes d'une origine donnée EST raciste précisément, car elle semble supposer que seuls des personnes d'une origine particulière peuvent représenter l'islam.

Cette essentialisation de l'immigration comme musulmane, ce qui est d'ailleurs le projet politique des islamophobesphobes est précisément celui que je décrivais: donner des lois particulières à des personnes d'origines particulières: un projet de domination coloniale, exactement ce que veulent les fascistes en question: mettre la main sur l'immigration au nom de l'islam.

Et bien cela ne passe pas. En tout cas pas en France.

12.Posté par Mythopasmytho le 30/07/2019 18:00 | Alerter
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Il faut raconter l'Histoire, mais l'Histoire n'est pas une identité François. Lorsque je parle je suis un Français qui parle mais je ne suis pas les Français.
Idem pour toutes les autres identités.
L'Histoire est parfois utilisée à des fins racistes. Utilisée afin d'accuser une identité de tous les mots. Un vrai Historien raconte des événements, un contexte. Mais il ne raconte pas une identité.
Ca reviendrait d'ailleurs à dire que nous ne serions des choses, que nous penserions toujours pareil et que donc jamais rien ne changerait jamais.
Ce qui ferait du coup de l'Histoire elle meme qu'elle ne pourrait pas exister.

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