Chrétiens et musulmans, frères en humanité, membres du GAIC, nous sommes indignés par la brutalité de l’opération militaire israélienne sur Gaza.
Nous déplorons que la résolution 1860 du conseil de sécurité, datant du 8 janvier est encore loin d’être appliquée. La résolution " appelle à un cessez-le-feu immédiat, durable et pleinement respecté, menant au retrait complet des forces israéliennes de Gaza ", "condamne toute violence et hostilité dirigées contre les civils et tout acte de terrorisme », et « appelle à la fourniture sans obstruction (…) de l’aide humanitaire ». Son application est, dans l’immédiat, la seule voie permettant d’arrêter le massacre et les punitions collectives.
Nous pensons que les dispositifs, garantissant que le cessez-le-feu sera durable, ne peuvent être efficaces sans la cessation des livraisons d’armes à tous les belligérants, la réouverture des points de passage et la fin du blocus sous toutes ses formes. Il faut également mettre fin à la colonisation de la Cisjordanie.
Nous affirmons, avec le Président de l’Assemblée Générale de l’ONU, que la communauté internationale porte une lourde responsabilité en n’ayant pas réussi à imposer les règles internationales qui protègent les populations civiles et ceci dès le début de l’embargo sur Gaza.
Nous soutenons l’appel de la Plateforme des ONG Françaises pour la Palestine, dont le GAIC est membre observateur, pour que la France demande la mise en place d’une commission internationale d’enquête indépendante sur les violations des droits humains dans le cadre de la crise à Gaza.
Nous affirmons que le conflit en Israël-Palestine, qui n’a que trop duré, ne peut être résolu sans l’intervention de la communauté internationale et de ses citoyens. Nous demandons au Gouvernement Français, membre permanent du Conseil de Sécurité, dont il assume actuellement la présidence, qu’il travaille pour que le Conseil :
- impose aux parties un retour à la négociation,
- accompagne résolument les parties dans leurs négociations et jusqu’au rapide aboutissement de la coexistence de deux Etats, dans le cadre du droit international, seule étape possible pour rétablir la Paix dans cette région ensanglantée.
Musulmans et Chrétiens du GAIC éclairés par notre Foi nous appelons chacun et chacune à œuvrer pour la paix juste, réelle et durable, pour la réconciliation, et à s’opposer à toute importation de la violence sur notre territoire.
Nous déplorons que la résolution 1860 du conseil de sécurité, datant du 8 janvier est encore loin d’être appliquée. La résolution " appelle à un cessez-le-feu immédiat, durable et pleinement respecté, menant au retrait complet des forces israéliennes de Gaza ", "condamne toute violence et hostilité dirigées contre les civils et tout acte de terrorisme », et « appelle à la fourniture sans obstruction (…) de l’aide humanitaire ». Son application est, dans l’immédiat, la seule voie permettant d’arrêter le massacre et les punitions collectives.
Nous pensons que les dispositifs, garantissant que le cessez-le-feu sera durable, ne peuvent être efficaces sans la cessation des livraisons d’armes à tous les belligérants, la réouverture des points de passage et la fin du blocus sous toutes ses formes. Il faut également mettre fin à la colonisation de la Cisjordanie.
Nous affirmons, avec le Président de l’Assemblée Générale de l’ONU, que la communauté internationale porte une lourde responsabilité en n’ayant pas réussi à imposer les règles internationales qui protègent les populations civiles et ceci dès le début de l’embargo sur Gaza.
Nous soutenons l’appel de la Plateforme des ONG Françaises pour la Palestine, dont le GAIC est membre observateur, pour que la France demande la mise en place d’une commission internationale d’enquête indépendante sur les violations des droits humains dans le cadre de la crise à Gaza.
Nous affirmons que le conflit en Israël-Palestine, qui n’a que trop duré, ne peut être résolu sans l’intervention de la communauté internationale et de ses citoyens. Nous demandons au Gouvernement Français, membre permanent du Conseil de Sécurité, dont il assume actuellement la présidence, qu’il travaille pour que le Conseil :
- impose aux parties un retour à la négociation,
- accompagne résolument les parties dans leurs négociations et jusqu’au rapide aboutissement de la coexistence de deux Etats, dans le cadre du droit international, seule étape possible pour rétablir la Paix dans cette région ensanglantée.
Musulmans et Chrétiens du GAIC éclairés par notre Foi nous appelons chacun et chacune à œuvrer pour la paix juste, réelle et durable, pour la réconciliation, et à s’opposer à toute importation de la violence sur notre territoire.