Sur le vif
Jugé en comparution immédiate à Nîmes lundi 6 août, le couple qui avait tiré sur des jeunes qui rompaient le jeûne du Ramadan a écopé de peines de prison ferme.
L'homme a été condamné à quatre ans de prison et sa compagne a deux ans de prison.
Dans la nuit de samedi à dimanche, ils avaient tiré à plusieurs reprises sur un groupe de jeunes rassemblés pour l'iftar sur un parking à Aigues-Mortes (Gard). L'homme de 44 ans avait commencé les hostilités en leur lançant des insultes racistes puis était revenu deux autres fois en tirant sur le groupe avec une carabine au moins à 8 reprises.
Une personne du groupe avait été légèrement blessée à la cuisse et dans le dos.
Le tireur avait également tiré sur une voiture où se trouvaient une maman et sa fille, d'origine maghrébine.
Sa compagne, qui proférait également des insultes racistes, l'aidait à recharger son arme entre les coups, selon des témoins.
Ils étaient tous les deux sous l'emprise de l'alcool, a pu constater la police après leur arrestation.
Pour cet acte clairement raciste, ils ont comparu pour «violences avec ITT (incapacité totale de travail) inférieure à 8 jours », avec quatre circonstances aggravantes : « la préméditation », « l'alcool », « l'arme » et « l'appartenance des victimes à une ethnie, race ou religion », selon une source judiciaire, rapporte Le Parisien.
L'homme a également vu son permis annulé pour conduite en état d'ébriété.
Lire aussi :
Gard : Un couple profère des propos racistes et tire sur des jeunes lors d’un Iftar
L'homme a été condamné à quatre ans de prison et sa compagne a deux ans de prison.
Dans la nuit de samedi à dimanche, ils avaient tiré à plusieurs reprises sur un groupe de jeunes rassemblés pour l'iftar sur un parking à Aigues-Mortes (Gard). L'homme de 44 ans avait commencé les hostilités en leur lançant des insultes racistes puis était revenu deux autres fois en tirant sur le groupe avec une carabine au moins à 8 reprises.
Une personne du groupe avait été légèrement blessée à la cuisse et dans le dos.
Le tireur avait également tiré sur une voiture où se trouvaient une maman et sa fille, d'origine maghrébine.
Sa compagne, qui proférait également des insultes racistes, l'aidait à recharger son arme entre les coups, selon des témoins.
Ils étaient tous les deux sous l'emprise de l'alcool, a pu constater la police après leur arrestation.
Pour cet acte clairement raciste, ils ont comparu pour «violences avec ITT (incapacité totale de travail) inférieure à 8 jours », avec quatre circonstances aggravantes : « la préméditation », « l'alcool », « l'arme » et « l'appartenance des victimes à une ethnie, race ou religion », selon une source judiciaire, rapporte Le Parisien.
L'homme a également vu son permis annulé pour conduite en état d'ébriété.
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