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Sur le vif

1914-1918 : hommage aux poilus musulmans oubliés

Rédigé par La Rédaction | Jeudi 12 Novembre 2009 à 11:54

           


Mercredi 11 novembre, le petit cimetière de la Mulatière, à Lyon, accueillait, lui aussi, la cérémonie du 11 novembre.

L'assistance, composée entre autres de représentants municipaux, d'imams et du recteur de la Grande Mosquée de Lyon Kamel Kabtane, rendait hommage aux poilus musulmans de 1914-1918, oubliés pendant des décennies, jusqu'en 2006, lorsqu'un historien amateur découvre l'identité d'un curieux monument aux morts, dont personne ne se souciait depuis la Seconde Guerre mondiale.

Sa découverte a ainsi permis de faire recouvrer l'identité de ces 201 soldats musulmans venus d'Afrique. Durant la Grande Guerre, ils ont été plus de 475 000 à s'être sacrifiés pour la France. De nombreuses voix s'élèvent encore aujourd'hui pour que cette partie de l'Histoire soit reconnue, notamment dans les manuels scolaires de l'Éducation nationale. (Source : Libelyon.fr)




Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par chayR le 12/11/2009 16:40 | Alerter
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1914-1918 : hommage aux poilus musulmans oubliés, oui mais par qui ?

La France n'a jamais oublié ceux des musulmans de ses anciennes colonies qui sont venus, plus ou moins de leur plein gré, mourir au champs d'horreur de la "Grande" guerre.

Dès ma plus tendre enfance, j'ai assisté à maintes commémorations du 11 Novembre où j'ai pu constater par moi-même la présence de ces vieux soldats arborant fièrement leurs médailles acquises au prix de mille souffrances et privations ainsi que de la mort de milliers de leurs frères qui n'ont pas eut la chance de revenir de ces boucheries.

Il est à noter que l'on a assisté, depuis les "évènement d'Algérie" à la désertion de ces témoins devenus génants, tant pour l'aile droitiste de la France que pour les partisans du F.L.N. qui leur reprochaient une collaboration avec la France à une époque où eux-même tétaient encore le sein de leurs mères.

Depuis les accords d'Evian et peu après la dIsparition politique de ben Youcef ben Khedah, premier président du conseil algérien, aujour'hui inconnu des jeunes générations, les rescapés musulmans de la "Grande" guerre et leurs frères de la guerre 39-45 se sont fait discrets pour protéger la vie de leurs famille et descendants vivant au sein d'un état sous la domination d'une armée néo-communiste et pro-islamiste.

chayR abou RiyaD


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