Sur le vif
Il s’agit d’un Web-documentaire qui rassemble des témoignages et des rencontres avec quelques personnes de confession musulmane pour comprendre comment chacun d'eux vit et ressent le Ramadan. C’est l’œuvre de Rachid Djaïdani, un jeune homme à la fois écrivain, auteur, réalisateur et comédien, lequel a été sélectionné dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes 2012 pour « Rengaine », un film qui a remporté déjà une très bonne critique.
« Une heure avant la datte », tourné il y a plus de trois ans, a été diffusée sur le site de l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur l’an dernier. Cette année, c’est arte.tv qui le met l’honneur à l’occasion du Ramadan. Son réalisateur, dont le portrait est établi sur le site arte.tv, « ne voulait pas montrer, mais questionner les musulmans de France, et donner à ses proches l’occasion de se reconnaître là où ils ne peuvent pas le faire à la télévision. »
Les personnes interviewées sont pratiquement des proches de Rachid Djaïdani. Dont ses parents, qui relatent leurs habitudes matinales durant le Ramadan, leur réveil à 5 h 20 pour déjeuner et faire la prière puis se rendormir. Une autre, Isabelle, témoigne : « Ma vie a fait que j’ai rencontré beaucoup plus de musulmans sur mon chemin et que l’islam m’a convenu, c’est la manière de prier que j’aime trop. Mon tout premier Ramadan, je n’étais pas convertie, je l’ai fait par solidarité avec ma meilleure pote tunisienne. »
Les témoignages sont autant de saynètes de la vie quotidienne à l'heure du Ramadan et le style du réalisateur, qui pose ses questions faussement naïves, nous montre une diversité des profils de jeûneurs tels qu'on les aime, c'est-à-dire loin des clichés. C'est à voir ici.
« Une heure avant la datte », tourné il y a plus de trois ans, a été diffusée sur le site de l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur l’an dernier. Cette année, c’est arte.tv qui le met l’honneur à l’occasion du Ramadan. Son réalisateur, dont le portrait est établi sur le site arte.tv, « ne voulait pas montrer, mais questionner les musulmans de France, et donner à ses proches l’occasion de se reconnaître là où ils ne peuvent pas le faire à la télévision. »
Les personnes interviewées sont pratiquement des proches de Rachid Djaïdani. Dont ses parents, qui relatent leurs habitudes matinales durant le Ramadan, leur réveil à 5 h 20 pour déjeuner et faire la prière puis se rendormir. Une autre, Isabelle, témoigne : « Ma vie a fait que j’ai rencontré beaucoup plus de musulmans sur mon chemin et que l’islam m’a convenu, c’est la manière de prier que j’aime trop. Mon tout premier Ramadan, je n’étais pas convertie, je l’ai fait par solidarité avec ma meilleure pote tunisienne. »
Les témoignages sont autant de saynètes de la vie quotidienne à l'heure du Ramadan et le style du réalisateur, qui pose ses questions faussement naïves, nous montre une diversité des profils de jeûneurs tels qu'on les aime, c'est-à-dire loin des clichés. C'est à voir ici.
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