Deux personnes ont été tuées, dans la matinée du mardi 14 août, après l’effondrement partiel d’une mosquée à Agadez, dans le nord du Niger.
Le mauvais entretien de la mosquée, l’imperfection des travaux effectués par des maçons bénévoles fidèles de la confrérie soufie de la Tijaniyya, la qualité des matériaux et l’âge de l’édifice vieux d’une vingtaine d’années seraient à l’origine du drame, selon l’Agence nigérienne de presse (ANP).
Selon des témoins, l’effondrement de l’immeuble était prévisible « en raison des travaux effectués la plupart du temps par des non professionnels ».
La ville d’Agadez est connue pour abriter une mosquée d'argile vieille de cinq siècles, avec son minaret haut de 27 mètres. L’édifice religieux est classée patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le mauvais entretien de la mosquée, l’imperfection des travaux effectués par des maçons bénévoles fidèles de la confrérie soufie de la Tijaniyya, la qualité des matériaux et l’âge de l’édifice vieux d’une vingtaine d’années seraient à l’origine du drame, selon l’Agence nigérienne de presse (ANP).
Selon des témoins, l’effondrement de l’immeuble était prévisible « en raison des travaux effectués la plupart du temps par des non professionnels ».
La ville d’Agadez est connue pour abriter une mosquée d'argile vieille de cinq siècles, avec son minaret haut de 27 mètres. L’édifice religieux est classée patrimoine mondial de l’UNESCO.