Lille : des cambriolages en série dans les mosquées, le voleur en liberté

Un jour j'avais entendu un dialogue dans l'un de ces centres. Un drogué se présentait afin de bénéficier de son substitut. L'infirmière refusé de le servir. Le drogué insistait. Mais madame je veux juste une dose, donnez moi la et je m'en vais. Et l'infirmière de rétorquer, je ne peux pas, vous n'avez pas respecté les engagements que vous avez signé, c'est le protocole, vous ne vous etes pas présenté à un rendez-vous, je ne peux donc pas vous servir.
Et l'individu de ne pas baisser les bras, mais madame je ne pouvais pas, je n'ai pas que ça à faire, je travaille moi madame, et puis j'ai des enfants, je n'avais pas pu venir, donnez moi ma dose, d'habitude je viens à mes rendez-vous mais là je ne pouvais vraiment pas.
Et l'infirmière de rétorquer, non monsieur je ne peux pas. Vous n'avez pas respecté le protocole.
Et l'individu de rétorquer, mais madame il me faut ma dose, vous le savez, autrement comment je fais moi. Je vais etre malade si je ne l'ai pas, vous le savez. Donnez moi la madame.
L'infirmière. Je vais voir ce que je peux faire. Je vais voir avec le médecin. Elle fait va faire semblant de téléphoner et demande à sa collègue. J'ai un gars qui insiste, je n'arrive pas à le faire partir qu'est-ce que je fais. Je lui donne une dose ou pas. Non. Hors de question. Sois ferme.
Elle annonce au drogué que le médecin à dit non. L'individu ne se démonte pas et lui demande et demain. Si reviens demain matin, vous me la donnez. L'infirmière de répondre, je ne sais pas monsieu...  

Un jour j'avais entendu un dialogue dans l'un de ces centres. Un drogué se présentait afin de bénéficier de son substitut. L'infirmière refusé de le servir. Le drogué insistait. Mais madame je veux juste une dose, donnez moi la et je m'en vais. Et l'infirmière de rétorquer, je ne peux pas, vous n'avez pas respecté les engagements que vous avez signé, c'est le protocole, vous ne vous etes pas présenté à un rendez-vous, je ne peux donc pas vous servir.
Et l'individu de ne pas baisser les bras, mais madame je ne pouvais pas, je n'ai pas que ça à faire, je travaille moi madame, et puis j'ai des enfants, je n'avais pas pu venir, donnez moi ma dose, d'habitude je viens à mes rendez-vous mais là je ne pouvais vraiment pas.
Et l'infirmière de rétorquer, non monsieur je ne peux pas. Vous n'avez pas respecté le protocole.
Et l'individu de rétorquer, mais madame il me faut ma dose, vous le savez, autrement comment je fais moi. Je vais etre malade si je ne l'ai pas, vous le savez. Donnez moi la madame.
L'infirmière. Je vais voir ce que je peux faire. Je vais voir avec le médecin. Elle fait va faire semblant de téléphoner et demande à sa collègue. J'ai un gars qui insiste, je n'arrive pas à le faire partir qu'est-ce que je fais. Je lui donne une dose ou pas. Non. Hors de question. Sois ferme.
Elle annonce au drogué que le médecin à dit non. L'individu ne se démonte pas et lui demande et demain. Si reviens demain matin, vous me la donnez. L'infirmière de répondre, je ne sais pas monsieur, mais vous devez partir. Elle commence à s'énerver. Ca suffit monsieur, si vous ne partez pas j'appelle la police. L'individu de répondre. Mais appelez là la police. J'en ai rien à foutre.
Ce que je veux c'est ma dose madame, donnez moi là et je m'en vais.
Non monsieur je ne vous la donnerait pas.
L'individu. Vous allez me laisser comme ça. Vous vous foutez de ma gueule. Je ne pars pas tant que je n'ai pas ma dose.............
Et ça continue comme ça pendant une plombe.
L'infirmière, c'est hors de question monsieur.
Et l'individu un coup de faire pleurer dans les chaumières, l'instant d'après de vilipender l'infirmière.
Au final l'infirmière n'appelle pas les flics et le gars accepte de partir sans sa dose mais furax et d'annoncer qu'il revient demain matin et qu'il compte bien etre servi.
J'ai eu de la peine en entendant ça.
Je pensais, mais elle va bien finir par le servir. Qu'est-ce que ça peut bien lui faire.
Mais elle ne la lui à pas donné. Le gars avait bataillé comme un fou. Mais elle n'a pas cédé.
J'avais de la peine pour lui. Je me rendais bien compte qu'il racontait n'importe quoi. Mais j'espérais qu'elle cède.
Ce n'est pas tant le dialogue surréaliste qui m'avait frappé, mais le fait de l'entendre batailler comme un malade et que l'infirmière n'ai pas cédé.