Sur le vif
Le siège du journal franco-turc Zaman France a été pour la deuxième fois en deux mois victime d’actes de vandalisme et de violence perpétrés par l’organisation terroriste du PKK.
Le jeudi 6 octobre, à 18 h 30, une vingtaine de militants ont envahi et occupé pendant deux heures la salle de rédaction du journal, dont l’immeuble est situé à Pantin, dans la banlieue parisienne. Ils ont collé sur les murs des drapeaux et des autocollants à l’effigie du leader du PKK, Abdullah Öcalan. Par ailleurs, un militant a physiquement agressé l’un des membres de l’équipe du journal en le frappant au visage. MM. le Préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, et l’ambassadeur de Turquie, Tahsin Burcuoğlu, sont venus sur place constater les faits.
Considéré comme une organisation terroriste par la France et l’Union européenne, le PKK avait déjà procédé à des actes similaires il y a moins de deux mois. En effet, le vendredi 26 août, à 17 h 40, les militants ont tagué à plusieurs reprises le mot « PKK » sur les murs de l’immeuble et ont scandé des slogans pro-PKK. On pouvait également lire parmi les tags les trois premières lettres du mot « vengeance » en turc.
Nous dénonçons ces actes de violence et ces tentatives d’intimidation qui portent atteinte à la liberté de la presse et la liberté d’expression. Ils font également fi de l’attention que Zaman France a toujours portée à la défense des droits de toutes les minorités de Turquie, et notamment des Kurdes.
La Direction
Pantin, le 08-10-2011
Le jeudi 6 octobre, à 18 h 30, une vingtaine de militants ont envahi et occupé pendant deux heures la salle de rédaction du journal, dont l’immeuble est situé à Pantin, dans la banlieue parisienne. Ils ont collé sur les murs des drapeaux et des autocollants à l’effigie du leader du PKK, Abdullah Öcalan. Par ailleurs, un militant a physiquement agressé l’un des membres de l’équipe du journal en le frappant au visage. MM. le Préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, et l’ambassadeur de Turquie, Tahsin Burcuoğlu, sont venus sur place constater les faits.
Considéré comme une organisation terroriste par la France et l’Union européenne, le PKK avait déjà procédé à des actes similaires il y a moins de deux mois. En effet, le vendredi 26 août, à 17 h 40, les militants ont tagué à plusieurs reprises le mot « PKK » sur les murs de l’immeuble et ont scandé des slogans pro-PKK. On pouvait également lire parmi les tags les trois premières lettres du mot « vengeance » en turc.
Nous dénonçons ces actes de violence et ces tentatives d’intimidation qui portent atteinte à la liberté de la presse et la liberté d’expression. Ils font également fi de l’attention que Zaman France a toujours portée à la défense des droits de toutes les minorités de Turquie, et notamment des Kurdes.
La Direction
Pantin, le 08-10-2011
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