Sur le vif
Vendredi, Jacques Chirac a condamné "l'offensive de déstabilisation" menée contre le gouvernement du Premier ministre libanais Fouad Siniora.
"Alors que le gouvernement légitime, issu d'élections libres, est confronté à une véritable offensive de déstabilisation, nous devons lui réaffirmer notre plein soutien et appeler les Libanais à s'unir", a déclaré M. Chirac dans une intervention sur le Moyen-Orient au second jour du sommet européen de Bruxelles.
Le président français faisait référence aux pressions exercées par l'opposition prosyrienne conduite par le Hezbollah, qui poursuit depuis deux semaines un sit-in géant dans le centre de Beyrouth pour réclamer un gouvernement d'union nationale.
Pour Jacques Chirac, la solution à cette crise "passe par les trois impératifs suivants: l'équité, avec la mise en place du tribunal international, l'efficacité du gouvernement et l'unité des Libanais".
Au moment où la Ligue arabe entreprend une médiation, la mise en oeuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU et la conférence internationale sur la reconstruction, qui se tiendra à Paris le 25 janvier, sont selon lui "tributaires de cette solution politique".
"Alors que le gouvernement légitime, issu d'élections libres, est confronté à une véritable offensive de déstabilisation, nous devons lui réaffirmer notre plein soutien et appeler les Libanais à s'unir", a déclaré M. Chirac dans une intervention sur le Moyen-Orient au second jour du sommet européen de Bruxelles.
Le président français faisait référence aux pressions exercées par l'opposition prosyrienne conduite par le Hezbollah, qui poursuit depuis deux semaines un sit-in géant dans le centre de Beyrouth pour réclamer un gouvernement d'union nationale.
Pour Jacques Chirac, la solution à cette crise "passe par les trois impératifs suivants: l'équité, avec la mise en place du tribunal international, l'efficacité du gouvernement et l'unité des Libanais".
Au moment où la Ligue arabe entreprend une médiation, la mise en oeuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU et la conférence internationale sur la reconstruction, qui se tiendra à Paris le 25 janvier, sont selon lui "tributaires de cette solution politique".
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