Hassan Hattab, fondateur du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) désavoue dans une lettre publiée lundi par un journal algérien le virage ultra-radical pris ces derniers mois par ce mouvement sous l'appellation "Al Qaïda au Maghreb islamique" (AQMI).
AQMI a revendiqué le triple attentat suicide qui a fait 33 morts et 222 blessés mercredi à Alger, ramenant les Algériens aux heures sombres de l'insurrection déclenchée en 1992 par le refus de l'armée d'accepter la victoire électorale à la régulière promise au Front islamique du salut (Fis).
L'ex-GSPC, qui a fait allégeance fin 2006 à Al Qaïda avant d'être adoubé cette année par son numéro deux Aymane Zaouahri, cherche à transformer l'Algérie, qui commençait à panser ses plaies, en un "nouvel Irak", juge Hattab, dans une lettre au président Abdelaziz Bouteflika publiée par le journal Echorouk.
Hattab dénonce AQMI comme un "groupuscule qui cherche à transformer l'Algérie en un second Irak". Il "exhorte ses militants à abandonner le combat et à se joindre à la réconciliation" initiée par Bouteflika.
AQMI a revendiqué le triple attentat suicide qui a fait 33 morts et 222 blessés mercredi à Alger, ramenant les Algériens aux heures sombres de l'insurrection déclenchée en 1992 par le refus de l'armée d'accepter la victoire électorale à la régulière promise au Front islamique du salut (Fis).
L'ex-GSPC, qui a fait allégeance fin 2006 à Al Qaïda avant d'être adoubé cette année par son numéro deux Aymane Zaouahri, cherche à transformer l'Algérie, qui commençait à panser ses plaies, en un "nouvel Irak", juge Hattab, dans une lettre au président Abdelaziz Bouteflika publiée par le journal Echorouk.
Hattab dénonce AQMI comme un "groupuscule qui cherche à transformer l'Algérie en un second Irak". Il "exhorte ses militants à abandonner le combat et à se joindre à la réconciliation" initiée par Bouteflika.