Sur le vif
Le quartier de la Grange d'Orel à Avignon (Vaucluse) a été le théâtre d'une fusillade dimanche 2 juillet au soir qui a fait huit blessés.
Selon La Provence qui rapporte l'information, les faits sont survenus devant la mosquée Arrahma où un snack est situé en face.
Selon les premiers témoignages recueillis sur place et confirmés par la police, des hommes encagoulés, armés pour l'un d'un fusil, seraient arrivés à bord d'une Renault Clio. Au moins un assaillant est alors sorti du véhicule pour tirer sur la foule.
Huit personnes ont été blessées, quatre sur place et une famille de quatre personnes se trouvant dans son appartement au deuxième étage d'un immeuble.
Peu après les faits qui ont lieu quelques jours après l'attentat manqué contre la mosquée de Créteil, et alors que les assaillants sont activement recherchés à ce stade, la piste terroriste a été, selon La Provence, « complètement écartée » par la police.
La magistrate de permanence au parquet d'Avignon, Laure Chabaud, évoque l'hypothèse d'un règlement de comptes ou d'une querelle entre jeunes. « De ce que l'on sait ce soir, la mosquée n'était pas visée, les faits se sont passés dans la rue de l'établissement religieux mais sans lien avec ce dernier », a assuré le parquet.
Selon La Provence qui rapporte l'information, les faits sont survenus devant la mosquée Arrahma où un snack est situé en face.
Selon les premiers témoignages recueillis sur place et confirmés par la police, des hommes encagoulés, armés pour l'un d'un fusil, seraient arrivés à bord d'une Renault Clio. Au moins un assaillant est alors sorti du véhicule pour tirer sur la foule.
Huit personnes ont été blessées, quatre sur place et une famille de quatre personnes se trouvant dans son appartement au deuxième étage d'un immeuble.
Peu après les faits qui ont lieu quelques jours après l'attentat manqué contre la mosquée de Créteil, et alors que les assaillants sont activement recherchés à ce stade, la piste terroriste a été, selon La Provence, « complètement écartée » par la police.
La magistrate de permanence au parquet d'Avignon, Laure Chabaud, évoque l'hypothèse d'un règlement de comptes ou d'une querelle entre jeunes. « De ce que l'on sait ce soir, la mosquée n'était pas visée, les faits se sont passés dans la rue de l'établissement religieux mais sans lien avec ce dernier », a assuré le parquet.
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